Je vous partage ici le lien vers le podcast de l’émission “Regards pluriels” à laquelle j’ai participé cette semaine. Je suis ravie ici de vous partager quelques éléments autour de l’amour de soi.
La puissance des mots
Ce que créent les mots posés sur ma personne
Hier, j’ai réalisé une courte vidéo à propos de ma prise de conscience sur l’influence que peuvent avoir les “diagnostics” posés par une personne tierce sur ma propre personne. Ce que l’on me dit de moi impacte nécessairement ma relation à moi-même et ce que j’imagine qu’il faut que je fasse. J’imagine que c’est le cas pour tout le monde. Mais ici, j’ai besoin de m’expliquer plus précisément.
C’est en me posant pour ma méditation quotidienne et en passant en revue les différents points préalables à la méditation à proprement parlé que j’ai eu cette compréhension. 1/ je m’ancre. 2/ Je remercie pour ce qui est. 3/ Je m’aligne. 4/ J’ouvre mes différents chakras pour activer ma colonne de lumière. Après tout cela, soit je fais une méditation de pleine conscience, soit je travaille une thématique ou un rituel. Mais c’est à propos de l’ancrage que j’ai pris conscience de ce que je vais maintenant vous expliquer.
Ce sur quoi je porte mon attention se renforce
Depuis que j’oeuvre avec les énergies pour moi et pour les autres, il m’est souvent répété par les praticiens que je consulte que “je ne suis pas assez ancrée”. Il m’arrive d’ailleurs de le dire moi aussi à certains consultants. Alors depuis le début, je me “force” tous les jours à m’ancrer. J’exerce ma volonté à être plus incarnée dans mon corps et à “descendre dans la Terre”. Or, hier, il m’est apparu qu’il n’était pas besoin de forcer. Car le “niveau” d’ancrage que j’ai aujourd’hui est ce qu’il est et c’est parfait. Je m’explique.
Ce que j’ai perçu hier, C’est que ces mots énoncés par un.e collègue entraînaient la création par mon système comportemental d’une sorte de “voile énergétique” qui m’empêchait alors d’accéder à ce que je recherchais. J’ai alors compris qu’il n’est pas besoin de forcer ou de résister car qui on est dans l’instant est juste parfait. Vouloir à tout prix s’ancrer, signifie deux choses.
1- Je ne suis pas ancrée. Porter l’attention sur cet état de fait renforce la chose.
2- Cela créé en moi un genre de discours intérieur inconscient tel que “je n’arrive pas à m’ancrer”. Ce qui renforce encore plus la difficulté que l’on a à s’ancrer.
Se détendre dans l’instant
La solution si l’on cherche à gagner en ancrage, (ou en toute autre chose), c’est de se détendre. Identifier la difficulté est important. Cela veut dire que nous nous recentrons pour ressentir. Mais ce n’est pas suffisant. La suite qui va tout changer dans notre rapport à nous-même, c’est l’importance de se détendre, physiquement et mentalement. S’inviter doucement à nous relâcher et à laisser le mental s’installer dans son ronron va permettre à nos espaces intérieurs de s’ouvrir pour recevoir, ressentir. On peut poser sa conscience dans l’espace du chakra du coeur et poser l’intention de nous ancrer. mais ce n’est même pas utile. L’essentiel est d’être pleinement conscient de notre corps, de notre environnement, de notre état intérieur. Pleine conscience dans l’instant présent. Et ça suffit. L’ancrage c’est cela.
Mais si c’est autre chose que l’on souhaite améliorer dans sa vie ou dans son Être (se libérer de mémoires, de blessures, de peurs, ouvrir un autre centre énergétique, etc), le processus est le même. Il n’y a pas à forcer. il y a simplement à être dans l’acceptation de ce qui est et s’inviter à se détendre tel que l’on est dans l’instant. Poser une intention claire avec son coeur, dans la conscience du coeur… Et laisser faire.
Garder son libre-arbitre et son discernement
Dans le cadre d’une consultation, il est parfois tentant de s’en remettre aux réponses du praticien, ou du médecin. C’est d’ailleurs parce que nous n’avons pas la solution que nous allons voir un tiers. Cependant, vous êtes le seul maître à bord, de votre Vie, de votre corps, de votre Être. C’est à vous qu’il revient la responsabilité d’adhérer ou non à ce qui vous est dit sur vous. Si cela ne vous semble pas vrai, pas juste, vous avez raison. Le professionnel ne vous donne que son point de vue, sa version d’une vérité filtrée au travers de ses grilles de lecture. C’est très important d’avoir conscience de cela il me semble quand on veut prendre la responsabilité de sa santé et de sa guérison.
L’amour de soi
S’aimer soi-même? Quelle drôle d’idée! Et pourtant, c’est un aspect fondamental de notre éveil et de notre accès à notre spiritualité. J’ai longtemps été dans ce fonctionnement répandu d’être en lutte contre moi-même. C’est également une problématique récurrente chez la majorité des femmes qui me consultent.
Les femmes que je vois ont peu d’estime de soi, peu de confiance en soi et ne s’aiment pas, quand elles ne se détestent pas.
Qu’est-ce que c’est l’amour de soi ?
L’amour de soi c’est trouver sa place et s’autoriser à la prendre. C’est s’autoriser à la revendiquer quand c’est nécessaire.
C’est reconnaître sa valeur, faire respecter ses limites, être dans sa souveraineté, son pouvoir d’agir.
C’est s’autoriser à s’apporter de la douceur, du soin, de la bienveillance, et de la compassion.
C’est à la fois avoir confiance dans ses capacités, compétences et qualités humaines (dans toutes ses dimensions), avoir de l’estime de soi (reconnaître sa valeur sans forfanterie ni humilité mal placée) et se donner de l’amour comme on en donne à nos proches.
Souvent les femmes manquent des trois. La confiance en elle leur fait défaut dans bien des sphères (professionnelle, mère, amante, épouse, femme en tant que telle).
L’estime de soi est encore plus difficile à conquérir car les petites filles n’ont bien souvent pas été éduquées, encouragées à reconnaître leur valeur. Elles ont souvent entendu qu’être une fille « c’était nul », qu’elles étaient faibles, émotives, pénibles, etc. Trop ci, pas assez ça. Donc jamais reconnue à leur juste valeur. Quand en plus dans une société fortement imprégnée de la religion judéo-chrétienne qui bannit la vanité, on ne doit pas dire de soi-même qu’on est forte en tel ou tel domaine, il est difficile de prendre conscience de sa valeur et de s’autoriser à en parler.
L’auto-compassion
La bienveillance et l’auto-compassion sont complètement interdites dans le monde intérieur de la femme, qui est plein d’obligations, d’injonctions qu’elle-même s’impose. La voix qui juge en leur intérieur est extrêmement sévère et on ne souhaiterait à aucun de nos amis d’entendre ce discours. Gagner la compassion envers soi c’est déjà faire preuve d’amitié à son égard (avant de parler d’amour). Ainsi quand vous faites une erreur, au lieu de vous traiter de tous les noms, imaginez juste comment vous parleriez à votre meilleure amie à ce propos. Et bien c’est comme cela qu’il faut se parler à l’intérieur. Se forcer à cela pour que cela devienne un automatisme. J’entends déjà les objections : (je me les suis faites) « Mais alors, si on se parle comme à sa meilleure amie, on va devenir complaisante avec soi-même et ainsi justifier nos pires manquements. »
Et bien non, justement. Il s’agit de garder son discernement et réfléchir avant d’agir d’une manière qui soit néfaste pour soi ou quelqu’un d’autre. Ce conseil d’auto-compassion vaut pour les erreurs que l’on voit après coup. Il ne sert à rien de se flageller après coup. Cela ne changera rien au fait. En revanche, il y a fort à parier que si vous vous accordez le droit à l’erreur, que vous revenez à votre centre pour prendre le temps d’être en accord avec votre cœur, vous ne commettrez pas d’erreurs qui soient catastrophiques pour vous ou d’autres. Car s’aimer c’est bien cela : c’est prendre le temps de s’écouter et d’agir, parler, penser en étant en complète cohérence avec son cœur.
Le rôle du ventre dans l’amour de soi
Souvent les femmes n’aiment pas leur ventre, et ce bien avant qu’il ait été déformé par les grossesses. Il est souvent trop rond, trop mou, pas assez plat etc. Il est aussi le siège de douleurs, à l’occasion des lunes, mais également des douleurs dues au fonctionnement digestif et intestinal.
Le ventre est dit-on le deuxième cerveau. Sur un plan énergétique, je dirais plutôt qu’il est le premier cerveau émotionnel, et le creuset alchimique de nos émotions. C’est là qu’elles s’inscrivent, parfois se bloquent. Mais c’est aussi dans cet espace, que l’on peut les « digérer », pour les transmuter.
Dans les relations interpersonnelles
L’amour de soi est primordial si l’on souhaite avoir des relations de qualité avec les autres. Nous avons toujours vécu dans cette stratégie largement admise et diffusée qu’il faut se préoccuper de l’autre avant soi dans les relations quelles qu’elles soient : Qu’est-ce que l’autre est en train d’être, de faire ? D’avoir ? De vouloir ? De dire ? De penser ? D’espérer ? De planifier ? etc
« Et bien si l’on y réfléchit, cela n’a aucune importance ».
(Neale D. Walsch « Conversations avec Dieu »)
Tout ce qui importe, c’est ce que VOUS, vous êtes en rapport avec cette personne. C’est quelle personne vous voulez être avec l’autre, ce que vous voulez faire, dire, souhaiter.
Chacun de nous s’imagine qu’il suffit d’aimer les autres pour qu’ils nous aiment. Alors nous nous sentirons digne d’être aimé et nous pourrons alors nous aimer.
Mais c’est tout l’inverse : Si toi-même tu ne t’aimes pas, qui le fera ? Qui ressentira qu’il peut t’aimer sans risque d’être dépassé par tes demandes, tes failles, tes blessures ? Qui se sentira assez fort pour porter, supporter toutes tes blessures ?
C’est pourquoi la première chose à apprendre à nos enfants, c’est à s’aimer tel qu’ils sont avec leurs bons côtés et leurs moins bons côtés. C’est là toute la difficulté.
L’éveil du cœur
Parallèlement à cette conquête de l’amour pour soi-même, on va travailler à éveiller le cœur. C’est précisément au service de l’amour de soi.
Qu’est ce que cela signifie ?
La plupart des personnes que je reçois en séance ont des cœurs « enfermés » dans différents systèmes de protection. (je parle au niveau énergétique). Après avoir vécu différents événements plus ou moins difficiles, chacun élabore de manière plus ou moins inconsciente des systèmes défensifs « pour ne plus revivre les difficultés du passé dans une situation analogue ».
Cela entraîne que sur un plan énergétique, les cœurs sont souvent bien ensevelis, cachés sous des couches et des couches plus ou moins lourdes. Ces protections épaisses empêchent les personnes, non pas d’aimer (là ça fonctionne toujours),
mais de s’ouvrir à l’inconnu…
de s’ouvrir à la beauté des petites et grandes choses de la vie…
de s’ouvrir à la beauté des gens (ici je ne parle pas de la beauté physique, mais de la beauté de leur âme)….
Cette difficulté à s’ouvrir aux autres entraîne le jugement et l’auto-jugement (cercle vicieux).
C’est aussi la source de la difficulté à éprouver la joie d’exister , d’être tout simplement.
L’accompagnement
C’est donc par un accompagnement global autour de cette thématique mêlant une libération/nettoyage des différents chakras et des séances de sophrologie permettant de contacter ses ressources intérieures que l’on va permettre la conquête cet amour de soi l’ouverture du cœur .
Le travail se déroule principalement au niveau du cœur, de la gorge centre de la volonté et de l’expression de soi, du chakra sacré (conscience de sa valeur, de son intégrité), et du chakra racine, (renforcer ses bases, ses fondations de construction de sa personnalité). Mais bien évidemment tous les chakras sont importants et participent à ce travail.
Et vous?
À la lecture de cet article, vous ressentez que vous êtes concerné.e., n’hésitez pas à visiter les pages de mes différents accompagnements et réserver un appel (de 15 mn) si vous souhaitez avoir de plus amples renseignements.
Revisitons nos engagements
Point sur les énergies de cette éclipse lunaire
Aujourd’hui, 27 octobre, je suis confrontée à mon énergie d’engagement, sous le prisme de l’autre.
J’ai la perception qu’il nous est demandé de faire le point sur nos engagements divers, qu’ils soient familiaux, amicaux, professionnels ou autres.
Où est mon cœur dans mes engagements ? Où est-ce que je mets la priorité ? Dans quels engagements est-ce que JE me choisis ? Quelle est la place que je me donne et au-delà de ça, quelle est la valeur que je m’accorde.
Autour de moi aujourd’hui, je vois de plus en plus souvent des personnes inscrites à des réunions, des repas, des ateliers qui s’inscrivent et finalement se désistent quelques jours avant, voire juste quelques heures.
Qu’est-ce que cela dit de moi ? Qu’est-ce que je me raconte pour me désister ? Et avant cela, qu’est-ce qui a fait que je me suis inscrit.e ?
À l’origine de l’inscription, il y a plusieurs schémas en action :
– la tentation (ou l’appel du cœur),
– ou le sentiment de devoir et/ou d’obligation,
– la curiosité.
Quand votre engagement vient du premier mouvement d’appel du cœur, ne cherchez pas. Là, vous avez juste eu raison de vous inscrire.
Quand c’est plutôt le devoir, l’obligation… vous l’avez compris. Là, c’est sans doute un engagement qui n’est pas juste pour vous.
Quand c’est la curiosité, le choix est alors à affiner et à vérifier dans le cœur que vous êtes au bon endroit et que l’événement est juste pour vous.
S’engager avec son coeur
Alors, je conclus ici pour ne pas faire redondance avec ce qui précède, et pour vous laisser cheminer dans cet axe de réflexion. Mais quand même : À partir de maintenant, avant de m’inscrire et de m’engager auprès de personnes (qui de par ce simple geste de cliquer sur le bouton « inscription », vont investir de l’énergie, du temps et souvent de l’argent pour préparer l’évènement), je vérifie que l’élan vient bien de mon cœur et que fermement JE M’ENGAGE à être présent.e.
Message de la Lune
J’ai également reçu ce matin de petites informations de la Lune à propos de l’éclipse lunaire qui a lieu ce week end ainsi que sur la pleine Lune de samedi. Les voici ici :
Femmes, vous êtes à mon image. Je suis dans la pleine expression de ma force, de ma lumière, de ma puissance. Et pourtant ! Je vais me laisser éclipser par le soleil. Et pourtant, je vais me laisser cacher par le soleil.Le soleil est l’expression cosmique de l’énergie du masculin.
Observez ce que cela génère en vous, évoque pour vous. Le masculin qui vous cache, alors que vous êtes en pleine lumière. Le masculin qui se pose devant vous, qui prend votre place. Il est bon d’aller visiter cet espace de vous qui se laisse confisquer sa place. Il est bon d’aller visiter en vous cet archétype de l’esclave.
Femme, il est bon d’aller regarder pourquoi tu as si souvent laissé le masculin te cacher, prendre ta place, se mettre devant toi, se mettre en avant de toi.
Femmes, je vous le redis. Vous êtes à mon image. La lune descendante ou l’éclipse lunaire est celle qui vous permet de descendre dans vos états d’âme pour mieux les regarder. Vous êtes épanouie, heureuse, joyeuse et puis soudainement vos énergies tombent. Vos pensées se font noires, sombres. N’est-ce pas là le mouvement, simplement, de vos émotions ? Sans chercher à comprendre plus avant, vous êtes faites de cette matière que sont les émotions. Vous êtes faites de cette magie que sont les états émotionnels. Car c’est dans vos ombres, dans vos pensées ténébreuses que vous allez pouvoir regarder à l’intérieur de vous pour choisir QUI vous voulez être et CE QUE vous voulez être. Vous allez ainsi faire le choix de remonter de votre puits vers la Lumière du Cosmos et vers votre propre lumière. C’est ainsi que vous êtes faites.
Alors manifestez votre acceptation de ce dont vous êtes faites, en étant ainsi en accord et non plus en lutte contre vous-même. Vous trouverez ainsi plus vite le chemin pour remonter de votre puits intérieur.
Les soins quantiques
Peut-être vous demandez-vous ce que sont les soins et thérapies quantiques?
La circulation de l’énergie
Les soins quantiques sont basés sur l’utilisation de l’énergie vitale et sa circulation dans le corps physique mais également dans les corps subtils (champs électro-magnétiques entourant le corps physique).
Elle travaille à partir de la résonance des fréquences vibratoires émises par les corps, les cellules humaines, les organes etc.
Les progrès de la physique quantique nous informent que le soin quantique traite à la fois les ondes et les particules.
Par conséquent, le soin quantique est une approche qui ne repose pas sur l’action d’une substance chimique associée au corps, mais sur les réponses aux ondes des champs électromagnétiques liés à l’organisme afin de le ramener à l’équilibre.
La thérapie agit sur les molécules informatives quantiques et sur les cellules. En agissant d’abord sur les ondes électro-magnétiques, une réaction en chaîne s’engage avec les cellules vivantes et le micro-organisme entier.
Lien fondamental du corps et de l’esprit
Elle reconnaît le lien fondamental entre le corps et l’esprit dans toutes les phases de la vie. (C’est pourquoi mes soins s’appuient également beaucoup sur la programmation neuro-linguistique.) Car par la pensée nous pouvons agir sur les dysfonctionnements physiques, en déprogrammant tous ces patterns « négatifs », ces croyances et ces schémas « réactionnels » acquis antérieurement (dans notre enfance, jeunesse, ou transmis par nos ancêtres) qui bloquent la circulation de l’énergie dans notre corps physique.
En empêchant l’énergie de circuler librement comme elle doit, le corps va alors réagir en manifestant des dysfonctionnements à divers niveaux, selon l’information que transmettent les cellules et les ondes électro-magnétiques liées aux pensées.
L’importance du taux vibratoire dans les thérapies quantiques
Tout notre corps est fait d’énergie. Quand il est en pleine santé, dans un équilibre parfait entre les trois pôles de l’Être humain : corps (santé du corps)/esprit (stratégies élaborées de la pensée consciente)/coeur (émotions et stratégies inconscientes), tout va bien et le taux vibratoire d’une personne est très élevé.
Malheureusement, la diminution de ces fréquences vibratoires est fréquente et affecte la majorité d’entre nous. Les causes sont multi-factorielles : le stress et l’anxiété, la nourriture de plus ou moins bonne qualité, le mode de vie inactif, le tabac, les médicaments, la « nourriture intellectuelle » plus ou moins qualitative (dans le sens d’élévation vibratoire), les lieux de vie … À cela s’ajoutent les pensées et jugements que l’on porte sur soi-même ou les autres, les émotions que l’on vit au cours de notre existence, la perte du sens de la Vie, la dépression etc…
Chaque maladie correspond à un degré vibratoire qui lui est propre. Chaque corps magnétique vibre également sur une fréquence qui lui est propre. Et c’est par ces résonances magnétiques que le thérapeute quantique peut « lire » ce qui se passe dans les corps du consultant.
Le soin quantique au niveau cellulaire
Chaque sensation, chaque émotion et aussi chaque pensée génèrent un ajustement dans la chimie de notre corps. Ce sont ces modifications quantiques qui créent notre état de santé et de bien-être. Ceci explique pourquoi chacun a la capacité de modifier l’état de son corps physique, quel que soit son âge, son état de santé ou son type de corps.
Là où vous portez votre attention et votre intention, l’énergie circule et génère une adaptation chimique et énergétique qui mène à un meilleur état de santé.
Les cellules réagissent et s’adaptent à chaque instant à notre environnement. (Ce sont les principes fondamentaux de la science épigénétique- B. Lipton, La biologie des croyances). Ainsi, rien n’est définitif, pas plus votre ADN que votre destin.
L’environnement est une notion qui regroupe tout ce avec quoi vous entrez en contact et relation (nourriture, air, eau, terre, êtres vivants, pensées, nourritures intellectuelles, etc)
Des soins quantiques venus du fond des âges
Nous devons bien admettre que ces soins new-âge ne le sont en fait pas du tout. Ils ont été pratiqués depuis des siècles et des siècles, par nos ancêtres. Ces derniers étaient tellement reliés à la Nature et à leur corps qu’ils avaient cette pré-science du soin énergétique. De plus, nés avant Descartes, ils n’avaient pas tous ces a-priori sur la médecine et la science vérifiable et reproductible. Ainsi, laissaient-ils parler leur intuition et pouvaient se soigner par leur propre médecine, associée à celles des éléments, des plantes, des animaux et des minéraux. Ces soins ne se substituent en aucun cas à notre médecine scientifique et allopathique. En revanche, ils la complètent à merveille et permettent des suivis réparateurs et bienfaisants en cas de grosses maladies (et même des petites ;-).
Références: https://physique-quantique.com/therapie-quantique/
La biologie des croyances, B. Lipton
S’autoriser … ne rien s’interdire… se ficher la paix.
S’autoriser … ne rien s’interdire… se ficher la paix. 3 expressions, 3 notions nuancées mais complémentaires.
Après discussions avec des amies inspirantes ces derniers jours, au cours des quelles nous avons parlé de ces 3 notions, j’ai pris conscience de plusieurs choses :
1- J’ai du mal à m’autoriser à faire certaines choses
2- Je m’interdis encore beaucoup d’autres choses
3- j’ai du mal à me ficher la paix de temps en temps.
Et finalement, ces 3 notions peuvent se rejoindre si l’on souhaite accéder à une certaine qualité d’être.
Des exemples personnels
Jai du mal à m’autoriser la vacuité, le vide d’action, la paresse.
Je m’interdis de mettre du vernis à ongles, d’avoir des vêtements répondant à plusieurs styles vestimentaires.
J’ai du mal à me ficher la paix, étant toujours dans la recherche de plus de quelque chose (certains appellent ça le perfectionnisme).
Ce sont de petits exemples du quotidien, mais ce matin, je prends vraiment conscience qu’en m’interdisant de faire ces petites choses, je ne laisse pas libre cours à l’élan de vie en moi.
Se respecter
Quand je m’interdis de mettre du vernis à ongles, parce que je ne trouve pas mes mains, ni mes ongles suffisamment jolis, et que je ne veux pas attirer le regard sur eux, je dis intérieurement à mon Être : « Reste dans les cases, ne dépasse pas, ne fais pas ce que souffle ton coeur ». Or, c’est exactement l’inverse que je cherche à faire. C’est aussi ne pas me respecter en niant ces élans, ces envies bien anodines et sans conséquence. Sauf que les conséquences sur mon estime de moi et l’amour de moi sont énormes.
Quand je ne m’autorise pas à adopter différents styles vestimentaires, au prétexte qu’il faut que j’en ai un seul et unique, parce qu’il paraît qu’on a toutes un seul style qui nous convient, j’envoie le même message de non respect, de non amour de moi et de non écoute de mon élan de vie.
Quand je cherche à tout prix à atteindre un état différent de celui dans lequel je vis, quand je veux absolument « m’améliorer », j’envoie le message à mon Être « Tu n’es pas assez ».
Encore une fois, je sape là mon estime de moi, et ma joie de vivre.
Se laisser être tel l’enfant
L’enfant se pose-t-il toutes ces questions ? Non.
Je me souviens de ma fille à 3 ans qui un jour est descendue de sa chambre avec tous ses bijoux (de plastique) sur elle et toutes ses pinces dans les cheveux, se demandait-elle si c’était son style et comme ça qu’elle devait être ? Non, elle a eu envie de se mettre tous ces colifichets plein de couleur parce que ça lui faisait plaisir. Parce qu’en faisant cela, elle respectait sa joie intérieure, son élan créateur.
Quand je mesure combien encore les regards extérieurs et mes impensés sont agissant dans ma vie, malgré toutes ces années de « travail sur moi », je suis émerveillée. Oui, émerveillée de voir à quel point nos systèmes et nos automatismes sont résistants. Émerveillée de comprendre que ça révèle un challenge et que c’est ce que j’aime aussi : continuer et traverser ces « écueils » pour aller au plus près de mon Être authentique. Émerveillée encore de comprendre qu’une seule vie n’y suffira pas et que c’est bien pour ça qu’on s’incarne autant de fois sur cette planète.
Les mémoires de vies antérieures
Les images des mémoires antérieures lors d’un soin sont-elles les mémoires de nos vies passées? J’avais besoin d’une confirmation à ce propos. Je l’ai eue hier en regardant la vidéo Youtube de M. Monade «Vos vies antérieures ne vous appartiennent pas. »
Vidéo ici.
C’est pour moi très étonnant et en même temps, pas tant que ça quand on commence à comprendre ceci : l’Âme qui rejoint la source après la mort n’est plus alourdie par ses mémoires de vie terrestre. Elle les laisse en « dépôt » dans la grande bibliothèque de l’Univers (Les annales akashiques).
Alors je me demandais pourquoi en redescendant dans un nouveau corps, elle revenait avec son gros sac de mémoires non transmutées. La première information que j’avais reçue était qu’elle ne revenait pas avec toutes les mémoires mais seulement avec celles qui lui serviraient de terreau pour traverser ses épreuves de vie.
En fait, je comprends aujourd’hui ceci : l’Âme n’a aucun besoin de redescendre avec aucune de ses mémoires puisque la Bibliothèque est accessible quand c’est nécessaire.
Ce qui se passe quand la personne vit quelque chose d’important dans sa vie, que ce soit positif ou négatif, l’Âme active un processus de rappel de mémoires dans les cellules. Ce processus est important pour permettre à la conscience de l’humain de comprendre et d’intégrer ce qu’il est en train de vivre.
Vous le savez : quand vous vivez un blocage, un stress dans votre vie, il vous est plus ou moins facile de le traverser, en fonction de vos mécanismes (schémas, programmes) psycho-émotionnels. Ces schémas, mécanismes sont la résultante de diverses mémoires (vies antérieures, transgénérationnelles et mémoires de l’enfance). Le processus de rappel s’active pour que vous arriviez à dépasser et comprendre un obstacle pour amener votre conscience à un pallier supérieur d’évolution.
Mais les mémoires qui sont activées ne sont pas seulement les vôtres. Parmi les vies antérieures, il y en a qui sont bien les vôtres et qui servent votre évolution. Mais elles ne sont pas suffisantes. Alors certaines mémoires viennent d’autres vies et vous sont prêtées (après tout, c’est une bibliothèque et pas seulement des archives).
C’est après cette information que j’ai mieux compris pourquoi certaines mémoires étaient nécessairement en lien avec des périodes historiques bien connues du consultant.
Les guides, l’Être supérieur du consultant me montrent les images d’un film (une vie) qui vont permettre au consultant de prendre conscience de ses comportements et schémas de pensées. Quand ce sont ce type de mémoires qui me sont montrées, je n’ai pas la tâche de les épurer. (C’était ce qui m’étonnait). Elles sont juste montrées pour que nous comprenions mieux ce qui se passe dans la vie de la personne.
Pour les mémoires transgénérationnelles c’est toute autre chose. Elles sont transmises via l’ADN, les cellules. Même si elles appartiennent aux ancêtres, le poids qu’elles font peser dans la vie des personnes est bien réel.
La confiance dans le processus de guérison
J’enfonce peut-être une porte ouverte en exposant ce point de vue. Mais je constate à quel point il est important que la confiance entre le client et le thérapeute-praticien soit présente pour que le soin « passe ».
Une enveloppe étherique de protection
Au fil de mes séances, je mesure que la majorité des adultes qui consultent est entourée par une enveloppe de protection, entourant tous leurs corps énergétiques et physique. Certains consultant n’arrivent pas à se départir facilement et plusieurs séances sont souvent nécessaires… Moi-même, je fais partie de cette majorité.
Pourtant la plupart des consultants sont des personnes qui viennent justement parce qu’elles se sentent en confiance : soit elles me connaissent, soit elles ont entendu un bon écho à mon propos, soit elles ressentent qu’une confiance est possible entre nous.
Malgré cela, la première séance laisse souvent peu d’ouverture à ce que le soin «descende» en profondeur. Lors de ces soins, il s’agit alors plus d’une « lecture » des émotions, croyances et mémoires bloquées, enkystées, avec un décodage des “tensions” internes. C’est en passant par cette phase d’exploration et de découverte que la confiance peut s’installer plus profondément.
Le praticien aussi
Il ne faut pas négliger non plus que le praticien est peut-être également en posture défensive sans en avoir conscience. Dans toute rencontre, des systèmes inconscients se jouent, conséquences de toute une vie de situations et événements plus ou moins heureux, y compris dans la relation thérapeute/client, et ce de manière réciproque (voire « miroir »).
Lâcher les attentes
C’est aussi une des raisons qui fait qu’un premier soin peut paraître décevant pour le client (et le praticien). En effet, la personne peut ne pas percevoir les subtils changements dans sa « matrice » énergétique. C’est d’autant plus vrai qu’elle aura posé des attentes fortes sur le soin. En effet, plus il y a d’attentes d’un résultat, moins les espaces intérieurs laissent la place à ce qui pourrait advenir.
Se voir comme deux partenaires
D’où l’importance de cette confiance profonde et sereine ! C’est pourquoi il est important de bien sonder votre cœur et vérifier que vous avez grande confiance en la personne que vous consultez. Ensuite, il est important de bien comprendre que le thérapeute seul ne peut “parcourir que la moitié de votre chemin de guérison”. Vous avez une grande part à jouer dans votre propre processus. Et c’est en cela que la confiance est le premier ingrédient qui vous incombe. Avant un soin, il peut être intéressant pour vous de vous placer dans cette posture intérieure du partenariat: vous et le praticien êtes deux partenaires oeuvrant vers un même objectif: votre santé, votre guérison.
C’est aussi pourquoi les praticiens vous invitent presque toujours à persévérer dans le suivi avec eux… pour permettre que leur médecine circule en vous librement lors des futurs soins.
Mes “miracle mornings”
Routines matinales et rituels
Il y a bientôt 10 ans, j’ai commencé à pratiquer la “méthode” développée par Hal Elrod consistant à transformer nos routines matinales. Sa théorie (très imprégnée de l’état d’esprit américain, toujours en quête de performance et de plus d’argent) a résonné en moi à cette époque car j’étais à la recherche de plus de joie et de douceur dans ma vie. Il propose de programmer de courtes activités dès le réveil pour gagner en énergie et confiance en soi, et ainsi pour enfin obtenir tout ce que l’on souhaite dans sa vie. Cela m’a semblé à l’époque un merveilleux moyen de parvenir à mettre de la poésie et de la beauté dans ma vie et ce dès le matin.
Retrouver de l’énergie
Hal Elord explique qu’il a commencé par mettre à sonner son réveil plus tôt, malgré sa grosse difficulté à sortir du lit. Il explique qu’il se sentait constamment fatigué, que ses journées voyaient son énergie s’étioler dramatiquement au fil des heures et qu’il pensait qu’il n’avait jamais assez dormi. Il a donc commencé à programmer son réveil plus tôt et s’est engagé envers lui -même à se lever rapidement (sans traîner au lit et mettre le rappel de sonnerie). Il explique ensuite toutes les activités qu’il a mises en place pour lui, tout en précisant que c’est à chacun de trouver celles qui lui conviennent. On a le droit de changer dit-il, si cela ne nous convient pas ou plus. Ainsi, il propose de pratiquer nos propres S.A.V.E.R.S, et cela avant la douche et le petit-déjeuner.
- (S) Silence : il s’agit ici de méditer, de réfléchir ou de contempler dans le silence
- (A) Affirmations : vous répétez à voix haute des affirmations ou vous les écrivez (ex: “Je m’accepte tel que je suis et je m’aime profondément et complètement”)
- (V) Visualisation : vous visualisez en détails vos objectifs et la personne que vous voulez devenir
- (E) Exercice : vous pratiquez une activité physique (jogging, fitness, Yoga, marche, Qi gong, etc…)
- (R) Reading : vous lisez quelques pages d’un livre vous permettant de développer de nouvelles connaissances et compétences.
- (S) Scripting : vous écrivez sur un journal vos pensées, vos idées, vos projets, les choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant.
Saupoudrer de la poésie dès le matin
À l’époque, j’avais besoin de plus de douceur, de joie et de poésie dans ma vie. J’avais commencé la méditation, mais cela ne me suffisait pas. Il fallait que je dégage du temps uniquement pour moi, pour pouvoir reprendre mon souffle dans mon quotidien archi-stressé.
J’ai alors décidé de prendre mon petit-déjeuner en musique (une musique douce, portant naturellement l’esprit à la rêverie). J’ai aussi pris soin de me confectionner des petit-déjeuners sains et plaisir, plutôt que d’aller au plus rapide et de consommer trop de sucre et de gras.
J’ai écrit mes affirmations et mes visualisations. J’ai lu des livres enrichissant mes connaissances. Pour l’exercice physique, ce fut plus compliqué pour moi. J’ai du mal à mobiliser de l’énergie au réveil pour faire du vélo, de la marche et encore moins de la course. J’ai donc opté pour des étirements doux et des mobilisations du corps en douceur.
Transformation
Je ne peux pas affirmer que c’est cela en particulier qui a transformé ma vie, car parallèlement à ça, je continuais mon chemin thérapeutique. Mais ce qui est sûr, c’est que mes matins sont devenus vraiment plus beaux et m’ont permis d’enfin commencer à voir combien la Vie est belle. Cela m’a aussi permis de commencer à entrevoir de nouvelles possibilités d’action que jusqu’alors je ne voyais. Commencer la journée, dans le silence, en prenant un temps pour soi et pour revisiter notre paysage intérieur est salvateur. J’ai ainsi évité les anti-dépresseurs à cette époque.
Changer ses habitudes
Aujourd’hui, je ressens que mes routines et mes rituels sont à “dépoussiérer”. En effet, il s’avère que quand nos énergies, notre vie changent, il est bon de redéfinir nos routines pour qu’elles s’accordent mieux à qui nous sommes. L’important est qu’elles nous permettent d’aller encore un peu plus loin dans notre développement ou épanouissement.
La différence entre le rituel et la routine, c’est que le premier a une dimension sacrée et spirituelle. Le rituel (qui peut prendre sa source dans un acte du quotidien tel que la toilette ou le petit-déjeuner) apporte une énergie de reliance avec une dimension supérieure de notre Être. Quand un rituel est pratiqué en conscience, des parts de nous s’ouvrent à quelque chose de plus grand que la matière et le quotidien.
Je vous livre ici les routines et les rituels que je décide de pratiquer désormais (mes S.A.V.E.R.S.): Certaines pratiques sont plus longues que 10 mn, car elles font partie de ma préparation à mon activité professionnelle. De plus je ne les pratique pas dans l’ordre donné par l’acronyme.
– E: Exercices du corps par étirements et mobilisations douces/ Massage du ventre (20 mn)
– S: Méditation et gratitude aux Énergies qui m’accompagnent, à la Terre, la Lune et le Soleil (20 à 30 mn) (Cette routine est un rituel, car je me pose dans le sacré de la Vie et des énergies qui m’entourent.)
– A: Mes affirmations devant le miroir pour booster ma confiance en soi
– V: Mes visualisations (Mes intentions pour ma vie à partir du coeur pour augmenter ma vibration et ainsi attirer à moi ce que je souhaite :“Loi de l’attraction”)
– R: Une lecture enrichissante
– S: L’écriture de mes pensées, de mes projets et de mes gratitudes.
Et vous? Quelles sont vos routines? Pratiquez-vous le “miracle morning”? Partagez-nous vos inspirations en commentaires.
Cercle de femmes
“Libre et sauvage”
Le 14 septembre, j’ouvre un espace sacré de sororité, un cercle de femmes tout en écoute et bienveillance. Une occasion de se (dé)livrer autour du thème de notre liberté personnelle et de notre Nature authentique.
Est-ce que je suis libre en moi ? Est-ce que je m’autorise à vivre ma liberté profonde, telle qu’elle vit au creux de moi ?
Est-ce que je suis reliée à ma part « Naturelle », « Originelle », celle des ressentis corporels, de l’écoute de mon intuition et de mes instincts ?

Conscience de notre liberté personnelle et de notre nature authentique
C’est tout cela que je te propose d’aller visiter lors de ce cercle de femmes. En nous reliant entre sœurs, en évoquant nos limitations, nos interdits, ceux que nous nous infligeons et ceux que l’on accepte, nous partirons à la rencontre de notre Soi naturel et libre. Nous lui permettrons de s’exprimer au travers de rituels et de méditation.
Nous ressortirons de ce cercle fortes de la conscience de notre liberté personnelle et de notre « sauvage attitude », fortes également d’avoir eu l’occasion de nous relier à notre propre estime de soi et à notre confiance en nous.
Jeudi 14 septembre – 18h30
Loir et Cher – Mont près Chambord
22€