Quand j’ai commencé à canaliser les énergies des mondes subtils, j’ai pu contacter des énergies de groupes d’animaux, tels les fourmis, les guêpes, les chevaux entre autres.
J’ai eu d’ailleurs l’occasion de découvrir que tous les animaux (y compris les insectes) avaient une conscience. Il y a deux ans environ, des guêpes s’étaient installées entre les tuiles et le placo dans une des chambres de la maison. Je désirais à tout prix préserver leur vie si précieuse pour nous les humains (pollinisateurs de nos plants de légumes et d’arbres fruitiers). Mais je ne voulais pas que le nid s’étende dans les combles.
J’ai alors essayé d’entrer en connexion avec elles (j’avoue que je ne savais pas trop ni si j’allais y parvenir, ni comment j’allais m’y prendre). J’ai alors posé l’intention d’entrer en connexion avec le groupe et c’est avec la Reine que la connexion s’est établie.
Je lui ai donc expliqué que son nid était dans mon nid à moi et que c’était dérangeant pour moi, que je souhaitais préserver l’essaim mais que si elles ne partaient pas je serai obligée de faire intervenir quelqu’un qui les exterminerai. J’ai aussi expliqué que leur intrusion dans mon nid ressemblait pour moi à une intrusion de frelons dans leur nid.
Elle m’a tout de suite communiqué son souci pour ses “bébés”. Elle m’a dit qu’elles ne pouvaient pas partir tout de suite (nous étions en juillet/août) à cause des petits. J’ai alors répété tout mon “discours” en lui demandant quand elles pourraient partir. Elle m’a parlé des “premiers beaux jours” (j’ai déduit début mars). Elle m’a aussi prévenu que ses “filles” pourraient revenir dans le nid. Je lui ai demandé comment les empêcher de revenir. Elle m’a expliqué qu’il fallait que je pose (je vous explique ici l’image que j’ai reçue) des cercles métalliques accrochés à des chaînettes métalliques qui se balancent dans le vent devant les entrées sous le toit.
Alors est-ce que ça a marché? Et bien oui! Les guêpes n’étaient plus là au printemps suivant. Et jusqu’à ce jour elles ne sont pas revenues. Je n’ai pas réussi à poser le stratagème de défense d’entrer car inaccessible pour moi. Mais j’espère que l’information de ne pas revenir restera le plus longtemps possible dans les générations suivantes de cet essaim.
J’ai longtemps caché cet épisode car je me suis toujours dit que les gens allaient me prendre pour une illuminée. Mais aujourd’hui, j’ai envie que les gens comprennent à quel point nous ne savons rien de la grande sagesse et de la conscience de tous les animaux sur cette Terre. J’ai un immense respect pour eux et une grande gratitude pour tous leurs messages de sagesse. Je vous en partagerai peut-être d’autres bientôt.
Je vous souhaite de beaux moments d’amour et de complicité avec les animaux sauvages et domestiques.
Réussir à exprimer tout son potentiel passe par la pleine conscience, non pas de sa puissance et de ses compétences, mais plutôt de sa joie d’Être.
Je fais le constat en ce qui me concerne que c’est le préalable à l’exercice (et accessoirement à l’expansion) de mes potentiels.
Je vous explique comment j’en suis arrivée à ce stade de compréhension.
Quand j’ai commencé à pratiquer l’écriture intuitive et que j’ai canalisé les premiers messages de mes guides, j’ai reçu cette phrase qui m’a énormément fait travailler : « Cherche ta joie ».
À l’époque je me trouvais bien désemparée devant cette phrase parce que j’avais perdu presque totalement mon élan de vie. Je ne savais plus qui j’étais, ce que je voulais faire de ma vie et surtout je ne savais même plus ce qui me mettait en joie. Disons plutôt que je croyais que je ne savais plus ce qui me faisait plaisir. Alors mon mental a commencé à chercher toutes les choses, activités, grandes et petites qui provoquaient de la joie en moi. Il faut admettre que j’avais bien du mal à la ressentir. Certains diront que j’étais en dépression. Je ne crois pas. Mais j’étais dans cet état que connaissent beaucoup de gens : un état « gris », sans joie ni peine… Juste un état de transition, de transformation, avec tous les anciens repères obsolètes et sans nouveau repère auquel se raccrocher.
Aujourd’hui, je vois un peu mieux où est ma joie. Cependant, je suis aux prises avec une mémoire familiale (que je suis en train de résoudre) qui me tire vers le bas et me plonge dans des états de découragement de manière récurrente.
Et c’est en méditant et en me posant sur ce point de « réflexion », que j’ai ressenti cette information.
Connaître ses rêves intérieurs les plus profonds et nourrissants nécessite de comprendre ce qui nous fait vibrer (nous met en joie). Mais le savoir ne suffit pas. Si la joie d’Être dans l’instant n’est pas présente, on ne peut accéder à ses pleins potentiels. En effet, la joie est la clé qui chasse les doutes, les peurs, ouvre la porte à la foi et la confiance en soi (et donc en ses capacités).
C’est parce que nous sommes en joie que la foi se présente, que les doutes s’envolent et que nous pouvons alors donner libre cours à toute notre expertise (qu’elle soit académique, extra-sensorielle, expérientielle ou autre).
Alors vous me direz peut-être, mais comment fait-on si on ne réussit pas à trouver sa joie, ce qui nous met en joie ? Comment fait-on quand le doute nous assaille et nous empêche de voir nos potentiels ?
L’essentiel est de se relier à ce que vous aimez faire de manière naturelle, sans en avoir conscience. Cela peut être de cuisiner, d’écouter de la musique, d’aller marcher, d’écrire, de retrouver des amis… Tout ce qui met du baume dans votre cœur. Car c’est en allant vers ce qui nous fait du bien que nos vibrations remontent et que nous pouvons commencer à aller plus loin, pour aller toucher nos rêves les plus grands.
Nous avons tous un jour éprouvé de la jalousie. Qu’est ce qui la motive ? En général, on le sait à peu près. Comment elle fonctionne et comment s’en déprendre ? C’est plus compliqué.
Commençons par définir ce qu’elle est.
Je reprends ici des définitions du TLFI (Trésor de la langue française illustré) :
attachement vif et inquiet, amour ou amitié exclusif.ve qui prend ombrage de tout attachement extérieur de la personne aimée,
irritation et chagrin par crainte ou certitude de l’infidélité de l’être aimé,
peine et irritation éprouvées par le désir de possession de biens matériels détenus par d’autres personnes.
Je m’arrête ici dans l’énumération des définitions. En lisant ces trois-là, nous comprenons que ce sentiment déclenche de la souffrance à divers degrés (tristesse et irritation), corrélée à un attachement amoureux ou amical, ou un désir de possession matérielle. Je synthétise en parlant de vouloir pour soi-même exclusivement.
C’est donc un sentiment ambigu, puisqu’il mêle à la fois le sentiment d’amour quelle que soit son intensité et la colère et la tristesse et parfois la peur.
Longtemps, j’ai cru que j’étais jalouse en amour. À contrario, je ne me reconnaissais pas dans la personne envieuse de ce que les autres avaient.
Lorsque j’ai été très amoureuse, je me suis retrouvée dans des états émotionnels difficiles à certains moments de ma relation. Quand je voyais l’homme de mon cœur discuter avec complicité avec une autre femme. Quand je le voyais danser avec une autre femme. Quand il m’appelait lorsqu’il était en déplacement et qu’il me racontait qu’il était en train de s’amuser avec ses « amis-collègues ».
Je mettais ça sur le compte de nos trop nombreuses périodes d’éloignement (il était marin d’état et donc souvent absent). Je mettais ça sur le compte de l’amour passionné. Je ne voyais pas vraiment que c’était surtout néfaste pour moi.
Puis, nous nous sommes séparés, pour des milliers de raisons. Et notamment celle qu’il était allé « voir ailleurs ». Dans un premier temps, j’ai alors justifié ce sentiment de jalousie. En revisitant certaines situations et en les interprétant sous un angle défavorable pour lui. À savoir qu’il n’était pas fiable ni fidèle et que c’étaient ses comportements à lui qui déclenchaient ma jalousie.
Aujourd’hui, ce n’est plus comme cela que je comprends cette jalousie. Aujourd’hui, je comprends que j’étais en dépendance affective, due à ces mémoires d’abandon, de rejet et de trahison. Avec cet homme, je rejouais à l’infini ma blessure d’abandon, celle de rejet et celle de trahison. Tant que je n’avais pas conscientisé cette dépendance affective, et toutes ces blessures qui se rejouaient en moi, je ne pouvais pas réellement comprendre ma jalousie. C’est en me remémorant sous un jour nouveau les différents événements qui avaient créé tant de douleur en moi que j’ai pu « faire la traversée ». Passer de cet enfant blessée à cette femme blessée qui décide de se guérir.
Alors suis-je encore jalouse ? Très certainement ! Mes vieux schémas de réaction et de pensées ont la vie dure. MAIS, désormais, je les reconnais plus vite et ce faisant, je m’apaise et reviens à un état émotionnel plus mesuré, plus calme et serein. Et je comprends que si je me sens jalouse, cela ne parle que de moi. Pas de l’autre. Que si l’autre est jaloux, cela ne parle que de ses blessures, pas de mes actions, ni de mes paroles.
À contrario, je ne me reconnaissais pas dans la personne envieuse de ce que les autres avaient. Je parle ici de l’envie matérielle. Longtemps j’ai réellement pensé que je n’étais pas envieuse. Et puis un jour j’ai vu ! Je me suis vue en train de maugréer contre ces femmes qui rencontraient le succès dans leur activité professionnelle, alors que moi… pas encore. Je me suis vue en train de me tourmenter intérieurement en me demandant ce que je n’avais pas, ce qu’il me manquait. Vous remarquez que je ne parle pas à proprement parlé de l’envie d’objets matériels. Je parle du succès. Et il s’agit bien de cette envie malgré tout. Au delà de ce sentiment laid, il s’agit tout simplement du désir de reconnaissance. Et finalement, n’est-ce pas là le moteur de ces deux sentiments « jalousie amoureuse » et « envie matérielle » ? Être reconnu comme quelqu’un qui mérite le détour, qui mérite qu’on oublie de regarder ailleurs… N’est ce pas là la source de ces deux sentiments ?
Et alors, je poise la question. D’où vient ce besoin de reconnaissance ?…
… De soi ! Il vient du fait que nous ne nous reconnaissons pas nous-même comme ayant une quelconque valeur. On parle alors de déficit d’estime de soi, de confiance en soi etc… D’où viennent ces deux manques ? De l’enfance et des blessures d’abandon et de rejet. Nous nous sommes sentis un jour abandonnés et rejetés. Et nous en avons déduit que nous n’étions pas « assez bien », que nous n’avions pas assez de valeur.
Et là, je reviens sur ce sentiment de jalousie.
Tout est lié.
La clé pour se déprendre de ces sentiments négatifs est bien de revenir à soi et de conquérir l’amour de soi, l’estime et la confiance en soi. Une fois arrivé à cet endroit, tout va bien. Plus rien n’est à redouter car nous savons qui nous sommes. Nous savons que nous avons autant de valeur que n’importe qui d’autre.
Ce week-end, je discutais avec mon neveu (24 ans) du poids des mémoires transgénérationnelles dans nos vies. Et lui ne voyait pas l’intérêt d’aller “remuer tout ça”. Selon lui, “c’est se poser bien des questions inutiles. La vie est simple et il faut aller de l’avant. C’est se créer plus de problèmes qu’autre chose”.
Je l’ai écouté et cela m’a rappelé une remarque d’une cousine qui me demandait elle aussi si les thérapies que j’avais entrepris étaient bien nécessaires, ou dit plus simplement “est-ce que j’allais vraiment si mal?” Et je trouve intéressant de regarder aussi de ce côté là de la question.
Je vois bien que mon neveu qui est jeune et plein d’allant, d’énergie “fonce en avant”, sans se poser de questions. Il a en lui cette capacité à suivre ses envies et à mettre en place dans la matière les actions nécessaires pour y arriver. On dirait que rien ne l’arrête, rien n’est impossible pour lui. Et je trouve cela inspirant.
Je comprends aussi cette cousine qui sans doute voit toujours le verre à moitié plein et se demande si nos vies actuelles légitiment réellement toutes ces thérapies. Et en me plaçant de leur point de vue, je vois bien que c’est aussi une réalité et qu’ils ont raison.
Nous sommes en effet créateurs de nos vies et à trop gratter, à trop se poser des questions, peut-être nous créons nous des problèmes plus gros qu’ils ne le sont en réalité. Mais alors, pourquoi certains d’entre nous ont-ils ces ressentis qu’ils doivent “faire quelque chose pour aller mieux”? Pourquoi pensent-ils qu’ils ne sont pas si heureux qu’ils devraient l’être? Pourquoi certains se sentent bloqués dans certains domaines de leur vie et n’arrivent tout simplement pas à avancer?
Je n’ai pas de réponse sûre. je vais émettre ici des hypothèses (qui me concernent). Peut-être que notre sensibilité fait que nous ressentons des poids dans nos vies que nous n’expliquons pas? Peut-être que notre sensibilité, nos ressentis nous amènent à prendre conscience que notre vie ne devrait pas être telle qu’elle est, et qu’elle pourrait être beaucoup mieux? Peut-être que tout simplement notre joie intérieure est absente et que chaque jour, il est difficile de trouver l’énergie de mener à bien tout ce qui nous incombe? Peut-être que nous sommes conditionnés par les médias qui nous rebattent les oreilles avec la psychologie, les thérapies, les problèmes divers et variés… et que nous avons lu quelque part que nous correspondions à des catégories de maladies psychiques?
Mais au bout du compte, est ce que cela est important? Je dirais non. Je crois que ce qui compte c’est bien d’aller là où nous avons envie d’aller… que ce soit dans l’hyper activité ou dans les thérapies (entre autres ;-). Ce qui compte, c’est ce que nous ressentons, et non pas ce que les autres nous disent.
Alors peu importe que certains trouvent intéressant ou inintéressant de se pencher sur les mémoires familiales. Car en effet, ce qui compte c’est que chacun aille vers ce qui lui semble bon et juste pour lui.
Je fus aussi une femme, épouse, mère hyper active qui avançait coûte que coûte. Mais qui n’écoutait pas ses besoins profonds. Et c’est quand cet état d’esprit est installé depuis trop longtemps qu’il y a dépression, burn out, accident etc. Ce qu’il est important de garder à l’esprit selon moi, c’est vraiment d’être doux avec soi, dans le sens de s’écouter. Écouter ce qui parle au creux de nous. Écouter ce qui se vit, ce qui s’exprime par le corps, et ce qui vit dans le coeur comme émotions.
C’est en partant de là, de cet endroit qui est NOUS, notre Être authentique que notre vie peut s’alléger et retrouver la joie initiale, originelle, de vivre.
Merci à la famille et la Vie de me faire avancer chaque jour vers Moi-m’aime.
Plus je fais des soins ou des séances de sophrologie, plus je mesure l’importance de ces programmes limitants inconscients qui sont bien entravants dans nos vies. Tant qu’ils sont inconscients, nous ne pouvons pas nous en occuper. Mais quand nous commençons à les entrevoir, au détour d’une difficulté dans notre vie, quel beau cadeau la vie nous fait là.
Elle nous montre qu’à l’intérieur de notre Être (Je parle ici du corps physique et de tous les corps subtils et énergies qui composent notre Être)se trouve une information qui a créé un ou des programmes de pensées et d’actions.
En général, la chaîne, le schéma est toujours le même. Et c’est souvent la difficulté et les émotions qu’elle nous fait vivre qui nous donnent l’information que quelque chose est à aller regarder.
La purification de nos corps, l’élimination de la mémoire à l’origine de ces programmes nous permet alors d’envisager d’autres moyens d’action sur notre vie. Nous pouvons choisir d’aller regarder ce schéma de pensée, ce programme pour mieux comprendre comment nous avons cheminé jusqu’à présent à travers les écueils de la vie. Nous pouvons décider de programmer autre chose, un autre pattern plus efficace et moins douloureux.
Et c’est magnifique de prendre conscience que nous ne sommes pas impuissants, que nous ne subissons pas ni notre vie, ni nos schémas inconscients une fois que nous l’avons décidé.
Ce matin j’ai pleuré. En lisant ce texte (https://www.instagram.com/p/Cq_YjhjOm…, j’ai pleuré de libération, puis de joie. Il parlait du masculin et de sa réconciliation avec le masculin. Je n’ai pas compris tout de suite qu’il parlait de MON masculin, de celui qui est en moi, blessé ou bourreau. Je ne saurai pas vous expliquer ici pourquoi et comment ce texte m’a permis de libérer une peine qui était en moi depuis trop longtemps. Je n’en avais même pas conscience. J’ai pris conscience en lisant de toutes les douleurs que je m’inflige en n’écoutant pas ce masculin en moi. Ce soulagement, cette libération m’ont permis de comprendre ce rêve récurrent dans lequel je vois un homme que j’aime de toute mon âme et dont j’attends l’enfant. Cet enfant c’est mon MOI entier, cet homme c’est mon masculin en moi. L’acceptation de cette part oubliée, ma réconciliation avec lui et tout le masculin me fait me sentir “à ma place”, complète, suffisante. Pour en arriver là, j’en ai parcouru du chemin, traversé des épreuves, des étapes. J’ai d’abord guéri mon féminin, accepté cette part blessée en moi. Alors j’ai pu créer de l’espace, ouvrir une porte pour qu’à son tour mon masculin puisse se réconcilier. Dernièrement j’ai donné de l’amour à des ancêtres hommes qui étaient coincés dans leur culpabilité, dans leur difficulté à accepter ce qu’ils avaient vécu et fait vivre à leurs descendants. Et je crois bien que c’est le dernier petit pas qui m’a amenée au bout de ce chemin de guérison. Là maintenant, c’est comme si je pouvais enfin lâcher prise, comme si je pouvais arrêter de vouloir contrôler. Le masculin en moi n’en a plus besoin. C’est comme si tout ce qu’avant je croyais indispensable à mon bonheur, ou tout ce que je croyais impossible à faire… et bien tout cela n’a plus d’importance. Juste parce que je sais QUI je suis. Je sais que les circonstances extérieures n’ont pas d’importance. Tout va s’installer, tout va se déposer à son temps, quand ce sera le moment, car je suis enfin, en pleine possession de moi-même. Ce à quoi je ne m’attendais pas, c’est de ressentir que je peux enfin céder, lâcher le mental, arrêter de vouloir, de tirer, de pousser, de résister. Je ne pensais pas que d’entrer dans mon yin et yang enfin unis et en parfaite harmonie allait me permettre de ressentir cette plénitude, cette assurance et ce lâcher-prise.
Phase de gestation, préparez-vous avant le feu d’artifice de la Pleine Lune. C’est un temps de préparation où nous verrons exploser nos projets, la germination de tout ce qui a été semé précédemment. Phase du printemps ascendant. Nous entrons dans la pleine énergie du printemps et pour beaucoup, ce sera une explosion positive. Il en sera de même à l’intérieur de vous. Le cocon du bourgeon éclatera pour laisser s’épanouir la fleur et le cœur de la fleur. Préparez-vous. La poussée énergétique sera forte et puissante. Vous la ressentirez comme jamais vous ne l’avez ressenti à cette époque de l’année. Ce sera le printemps des humains. L’avènement de nombreux projets et de nouvelles idées. Explosif ! Je perçois beaucoup d’enthousiasme et de joie, comme une excitation intérieure.
Pour que la fleur se déploie , que les pétales s’ouvrent, il faut que la coque du bourgeon craque et se délite. C’est toujours l’histoire de la Vie. Vous y êtes. Préparez-vous.
Pour cela, pour la plante comme pour vous, la tige doit être solide. Les racines doivent plonger profondément dans la terre. Les bases ! Renforcez, nourrissez vos bases.
Nous ne cessons de le répéter: Renforcez vos bases. Soyez bien enracinés, et au clair dans votre tige, votre structure. (Je vois une tige claire, transparente. Il est encore temps de faire les derniers ajustements ; nettoyer les résidus, les restes. Prépare-toi. C’est le grand ménage de printemps.
Ces derniers temps j’ai commencé à relire l’ouvrage de Barbara Ann Brennan « Le pouvoir bénéfique des mains ».Je l’avais lu en 2018 avant de découvrir que j’étais moi-même guérisseuse.
Dès les premières pages, je suis fascinée par son savoir théorique et expérientiel immense. Cette femme, à l’intuition développée peut-être à son maximum pour un être humain est de plus détentrice de plusieurs diplômes de sciences physiques, a été conseillère en psychologie à la NASA et d’autres compétences tout aussi impressionnantes. Elle a créé une école de guérison aux États-Unis, dont on sort certifiée après 4 ans de formation extrêmement sérieuse et poussée.
J’ai envie ici de vous partager un passage du début de l’ouvrage, qui explique parfaitement cette conviction que j’ai depuis bien longtemps à propos de la maladie et de la guérison.
Il est essentiel de tenir compte de la signification profonde de sa maladie. On doit se demander : que signifie-t-elle pour moi ? Quel enseignement dois-je en tirer?Peut-être est-elle simplement un message envoyé par le corps signifiant : « Minute !…Quelque chose ne va pas. Tu n’es pas à l’écoute de la totalité de ton moi.Tu es en train d’en ignorer certains aspects très importants pour toi. De quoi s’agit-il ? » La genèse d’une maladie doit être recherchée de cette manière, soit sur le plan psychologique ou intuitif, soit sur le plan de la compréhension ou en étudiant une altération peut-être inconsciente de l’état général. La santé exige plus de travail sur soi qu’avaler mécaniquement des pilules prescrites par le médecin.(…)
(…) Heyoan (le guide médecin de Barbara Ann Brennan) demande : « Où réside le malaise de ton corps, de ta vie ? Depuis quand t’en es-tu rendu compte ? Que te signifie-t-il ? Qu’as-tu fait pour y remédier ? » Si vous répondez honnêtement à ces questions, vous découvrirez à quel point négligez le meilleur outil dont vous disposez pour conserver votre santé, votre bonheur et votre sagesse. Tout malaise ressenti dans votre corps ou dans votre vie est un message indiquant que vous avez dévié de votre véritable moi.(…)
Parallèlement à cet ouvrage, je redécouvre les premières pages de l’ouvrage de Myriam Brousse (Votre corps a une mémoire), sur l’enthousiasme d’une amie à qui je l’ai prêté. La première page de son récit commence par « J’étais mourante … »
Elle raconte qu’à 40 ans on lui diagnostique un cancer des ovaires (comme sa mère et sa grand-mère mortes au même âge ! De quoi interroger!) et qu’elle n’en a plus que pour un an à peine à vivre. On lui retire tout l’appareil génital. Elle se sent désespérée et en rage d’être « foudroyée par cette chose que je ne maîtrisais pas ». Et puis un matin, au pied de son lit, elle découvre un homme tibétain qui a été envoyé à son chevet par une amie. Il lui demande : « Est-ce que tu veux vivre et guérir ? » Elle avait si mal qu’elle avait seulement envie que ça s’arrête. Et puis elle a pensé à sa fille qu’elle voulait voir grandir. Alors elle a répondu oui. Cet homme lui a alors répondu : « Très bien, alors je vais t’aider mais à trois conditions : D’abord tu essaies de revenir dans la vie en en trouvant le sens. Ensuite, tu fais tout ce que je te dis. Et enfin, quand tu iras bien, tu transmettras ce que tu as appris. »
Et c’est ce qu’elle a fait et continue de faire, presque 30 ans plus tard. Elle a créé une méthode et une école pour libérer ces fameuses « mémoires cellulaires ».
Tous les jours, pendant plusieurs semaines, il est revenu la voir. Et toujours il lui demandais « Veux tu guérir et vivre ? » Parfois, elle a répondu non tellement elle vivait des choses difficiles. Alors il repartait. Mais la plupart du temps elle a dit oui.
Ces deux ouvrages qui m’ont passionnée m’ont transmis cette conviction que tout mal (toute maladie) ou malaise dans sa vie est dû à une non-écoute de son corps et de son Être profond. En corrélation avec cela, j’ai acquis la conviction que pour guérir, il fallait le vouloir vraiment. Mais pas seulement. Pour guérir et retrouver une santé stable, il faut retrouver l’envie et surtout la joie de vivre. Pour cela, il faut y trouver du sens, sa perception personnelle du sens de sa vie. Enfin, le corps est capable de tout, y compris de se guérir par lui-même. Mais pour cela, nous devons l’écouter et chercher l’origine de nos malaises. Il faut donc s’y atteler vraiment, avec courage et ne pas attendre le médicament miracle, la personne miracle, la technique miracle. Myriam Brousse a « travaillé » avec cet homme-médecine tibétain pendant de nombreuses semaines, tous les jours. B.A. Brennan explique qu’elle voit ses patients chaque semaine pour qu’une amélioration soit visible et stable.
J’insiste beaucoup sur ces points car je ne peux que constater que la plupart des personnes que je rencontre attendent le remède miracle, la personne miraculeuse qui va les sauver, en une seule séance !
Mais cela n’existe pas ! Je le maintiens. Comme le rappelait un post sur un réseau social récemment, si tu fais des abdominaux une fois par an, tu ne verras aucun résultat, c’est une certitude. Si tu prends un seul comprimé de ton traitement, idem. Cela ne fonctionnera pas.
La seule personne miraculeuse qui peut vous sauver, c’est vous-même si vous le décidez vraiment et que vous y mettez votre intention du cœur. Mais cela prend du temps.
B.A. Brennan explique également que bien souvent, quand la douleur survient, plutôt que de l’écouter, nous prenons un anti-douleur pour l’oublier et qu’elle disparaisse au plus vite. M. Brousse la rejoint aussi sur ce point. Elle a dû traverser sa douleur avec le moins de morphine possible pour l’écouter et apprendre ce qu’elle avait à lui transmettre des mémoires inscrites en elle.
Alors, non, ce n’est pas un voyage qui fait envie. Non, ce n’est pas confortable, c’est même parfois insupportable… Et pourtant que voulons-nous vraiment ? Vivre en pleine santé le plus longtemps possible, ou faire partie des « tamalous » jusqu’à la fin de sa vie?
Gaïa se présente à moi avec l’apparence d’une mésange bleue et jaune. Elle me parle des migrations d’oiseaux, de leur faible poids. Physiquement, on peut croire qu’ils ne sont pas très puissants, et pourtant, ils arrivent, malgré les courants contraires à atteindre leur destination finale. Souvent même, ils se servent des courants contraires pour continuer leur voyage vers leur destination finale.
Cette métaphore est là pour nous faire prendre conscience que ce qui nous irrite, nous agace en nous, et autour de nous, ce qui nous fait peur, ce qui nous attriste, c’est une immense ressource pour aller plus loin sur notre chemin. C’est en rebondissant sur ces courants contraires que nous atteindrons notre objectif. Elle me parle de ces enfants de Gaïa, de nous les humains, de l’éveil des consciences, de ce qui manque à certains, à beaucoup. Cette conscience du lien, de ce fait que nous sommes tous reliés les uns avec les autres, mais également reliés avec la nature, avec les éléments.
“Ces enfants-là le savent dans leur tête, mais leur coeur reste sourd. Leur corps reste sourd. L’éveil de la tête ne suffit pas. Il faut le faire descendre dans le coeur et dans le corps. pour cela les éléments vont les ébranler. Parfois cela ne suffit pas. tant qu’ils ne sont pas touchés dans leur coeur et leur chair, cela ne suffit pas. La fenêtre sur le monde que vous appelez télé est tellement fragmentaire et lacunaire, mensongère… Les événements qui se déroulent trop loin d’eux ne les atteignent pas dans leur coeur et leur chair. C’est pourquoi parfois, nous choisissons de “frapper”, non pas pour punir, mais pour ouvrir le coeur, les yeux, les corps. C’est quand vous êtes touchés dans votre chair, dans votre coeur que vous ouvrez enfin les yeux sur la réalité du monde, de l’Univers, sur la réalité de votre Être, de qui vous êtes: un Être relié à tous les autres et à tout l’Univers. C’est à la fois pour cela que les catastrophes naturelles (comme vous les appelez) arrivent. Mais elles sont aussi la conséquence. Tout est relié. Tout est sous forme de cycle, de cercle. Il n’y a pas de début ni de fin. Il n’y a pas de déclencheur, il n’y a pas de conséquence. Stopper le cycle infernal passe par le coeur, par l’Amour et la conscience du Tout et des uns reliés au Tout. La conscience du Tout.“
Humains, nous sommes tous différents. Même si de grandes caractéristiques nous font nous ressembler quand on n’y regarde pas de trop près, si nous prenons un angle de vue un peu plus rapproché et que nous considérons les détails de notre physique et de notre psyché, les combinaisons de facteurs propres à chacun sont infinies. Nous sommes tous différents et surtout nous sommes tous uniques.
J’écoutais ce matin le début de l’entretien avec Christophe Allain (dont je vous mettrai le lien en bas de l’article) qui disait qu’avec simplement nos 5 sens, nous sommes déjà tous différents. Nous n’avons aucune idée de la manière qua notre voisin d’appréhender le monde par les 5 sens.
Cette simple hypothèse (ou théorie) m’a ramenée à ce message des guides que j’ai reçu dans l’hiver 2020 : Notre corps humain est un « costume » sur-mesure, un costume de super-héros. La manière que nous avons de percevoir par nos 5 sens nous est totalement propre et unique. Mais cela va au-delà des 5 sens. Il en est de même pour nos perceptions extra-sensorielles. Nous avons tous les mêmes canaux de perception, mais la manière dont nous les « exploitons » nous est propre.
Et à ce stade de ma réflexion, je stoppe à cette étape : quelle est ma propre manière d’appréhender le monde que ce soit avec mes 5 sens ou mes « extra-perceptions » ?
Sur un plan psychique et mental, nos manières de raisonner, de ressentir les émotions, de comprendre le monde nous sont également propres et uniques. Nous avons tous cette capacité à réfléchir, comprendre, apprendre. Nous ressentons tous des émotions. Mais chacun de nous comprend le monde à sa manière unique. C’est pourquoi, à l’ultime « bout » de la chaîne, il est impossible d’être en total accord avec un autre humain. En effet, les systèmes et stratégies de réponses émotionnelles et/ou réflexives mis en place au cours de la vie d’un individu diffèrent selon de multiples facteurs extérieurs et intérieurs : famille, milieu social et culturel, système de valeurs, de croyances élaborés au cours de son évolution.
Dans ces conditions multiples, comment une seule théorie pourrait-elle être vraie pour tous ? Je m’explique. Comment adhérer totalement à une idéologie, une théorie qu’elle soit scientifique, philosophique ou spirituelle, quand on sait que cette théorie a été élaborée par un individu ou un groupe d’individus, en adéquation avec leur « arrière-plan de pensées » ? L’arrière-plan de pensée, théorisé par L. Fleck (Genèse et développement d’un fait scientifique) consiste en l’ensemble des théories et postulats déjà admis par le collectif d’individus chercheurs, qui va façonner le regard et la recherche de nouvelles hypothèses et théories.
À l’image d’un chercheur, chaque individu élabore au cours de son évolution ses propres théories sur sa vie, sa personne, le sens de son existence et sur tout un tas de sujets dans différents domaines. Il le fait en prenant consciemment ou inconsciemment tous les paramètres qui sont à sa disposition pour appréhender le monde et le comprendre. Nous pouvons rapprocher ce point de vue de celui de Don Miguel Ruiz (Les quatre accords toltèques) qui parle des accords que nous avons passés inconsciemment avec nous-même et qui peuvent être source de limitation dans nos vies actuelles.
L’individu qui n’a pas conscience des postulats et théories posés comme vrais dans sa façon d’exister au monde peut se perdre, ou dans les pensées et théories d’un groupe ou d’un autre individu (philosophique, politique, spirituel ou autre), ou dans ses propres pensées.
Dans le premier cas, il y a risque de dériver vers les sectes et autres gourous ou chefs de partis politiques. Dans le second, il y a là encore deux voies : ou on court le risque de passer sa vie à chercher le sens de la Vie sur Terre et de ce fait, ne jamais éprouver la « joie de vivre », ou on s’enferme dans des « principes » et diktats, gouvernant de manière rigide notre vie et celle des autres et nous empêchant alors de vivre une vie un peu plus légère et plus heureuse.
J’en viens alors à l’objectif de cette « bafouille ». Il me semble alors primordial de plonger dans nos propres fonctionnements internes inconscients (de quelque nature et plan qu’ils soient), de les étaler sur la table et de CHOISIR ceux avec lesquels nous sommes réellement en accord. Nous libérer des schémas transmis, acquis inconsciemment est indispensable pour pouvoir accéder à sa pensée propre, à sa vision personnelle de soi, du monde, de l’humanité et de l’Univers et ainsi accéder à sa propre «gouvernance ». À savoir, écouter et adhérer à certains discours extérieurs qu’ils soient humains ou d’un autre plan (guides, maîtres ascensionnés, archanges, Dieu, Source, etc) en totale conscience de ce qui résonne avec nos propres stratégies et systèmes d’actions et de réflexions. Ainsi, nous pouvons y voir plus clair dans ce que nous désirons réaliser et expérimenter dans notre vie et suivre nos propres aspirations, sans plus s’en remettre totalement à quelqu’un d’extérieur.