Notre ventre, centre névralgique du corps et espace de méditation

Plus je fais des soins, plus j’avance dans la découverte de l’espace de notre ventre. Je ne peux pas affirmer que je le comprends mieux, car à lui seul il est tout un Univers. Mais chaque fois, je découvre de nouvelles ressources en lui.

En tant que femme, nos ventres sont reliés à nos cycles menstruels, hormonaux mais également aux cycles de la Lune. Il n’ y a qu’à observer la « montée » des fluides lors de la phase ascendante de la Lune, la perte de poids lors de la phase descendante. Ou encore observer les gonflements du bas-ventre , à l’image des marées des océans.

Ils sont le siège de bien des fantasmes et des projections, quant à leurs capacités et fonctions.
Ici, je vous parle de ce que j’ai pu entrapercevoir lors de mes soins. Je vous parle aussi de mon propre vécu avec mon ventre.

Le centre névralgique du corps

Le chakra sacré est situé dans le bas-ventre et dans l’abdomen, se situe le chakra solaire (plexus). Il est donc un vaste espace recelant deux dimensions énergétiques, chacune avec ses particularités bien précises.

Quand je me connecte à vos bas-ventres lors des soins, une infinité de perceptions se dévoilent à moi. Des informations de diverses nature y sont captées.

Ainsi, je peux percevoir le silence, le vide. Je peux y déceler de la confusion, un manque. Parfois j’y vois un précipice, ou un puits sans fond.  Je peux capter des informations plus concrètes, telles que le blocage, la tension dans le ventre, ou encore l’inflammation due aux règles.

Quand je me connecte à vos plexus, là encore, c’est une palette très étendue d’informations. Ce sont aussi des couleurs (allant du rouge à l’orangé). Le plexus est souvent contracté, dur, fermé. La colère y siège parfois. Souvent le diaphragme, voisin du plexus est tellement contracté qu’il forme une plateforme grise (ou transparente, ou autre… selon les personnes) qui se révèle infranchissable. Je peux aussi y ressentir le manque d’envie (=le manque de vie). Parfois, il est comme « absent », ou dans le brouillard.

(Toutes les perceptions que je vous décris peuvent se retrouver sur d’autres centres énergétiques, mais à chaque fois la signification est différente).

Quelques soient les perceptions, cet espace du ventre (abdomen et bas-ventre) est le centre névralgique de bien des problématiques féminines.

Un espace de méditation

Il est également un centre primordial lors des méditations d’ancrage et de recentrage.

« Descendre dans son ventre », poser son attention dans son ventre permet d’être pleinement présent à son corps… et à ses ressentis. C’est une des premières informations que j’ai reçues au début où mes capacités extra-sensorielles se sont développées. Quand ma présence est dans mon ventre, je suis mieux à même de ressentir, et je ne remonte pas dans ma tête, qui interprète et peut déformer les messages et informations reçus.

Il est aussi cet espace magique d’apaisement et de ressourcement lors de séances de méditation ou de sophrologie. Il est l’espace de nos ressources innées, de nos potentiels. Il est le siège de notre pouvoir personnel, ou puissance. C’est également là que se développe notre souveraineté (Je suis roi-reine en mon royaume. Personne ne peut entrer dans mon territoire sans mon consentement.) C’est là que se cachent notre créativité, notre joie et notre force de vie.

Une histoire compliquée entre nous

Ce n’est pas souvent une histoire d’amour entre notre ventre et nous (les femmes). Mais nous avons tout à gagner à nous y connecter et à nous réconcilier avec lui, pour enfin l’aimer à sa juste mesure.
C’est un travail de longue haleine que j’ai commencé il y a plus de dix ans maintenant.
C’est pourquoi j’ai à coeur de vous partager mes nouvelles avancées et compétences autour du ventre.

Un atelier

Je vous propose un « Atelier du ventre » au cours duquel nous apprendrons à le masser, à méditer avec lui, à l’écouter et à ressentir à travers lui. Cet atelier vous donnera des clés pour le libérer de ce qui l’alourdit, et pour faire la paix avec lui. L’objectif est d’établir une relation sereine (et peut-être d’amour) entre vous.

Samedi 30 septembre – 10h30 à 12h30
20€
Inscriptions au 0608032906 ou sur lavoiedupapillon@protonmail.com

Mabon

Une célébration de l’abondance et de l’équilibre

Le sabbat wiccan de Mabon est un sabbat mineur. C’est aussi la fête de la deuxième récolte. En effet, c’est le moment de cueillir tous les fruits qui ont pris le temps de se gorger de soleil et de sucre pendant tout l’été. C’est la saison où il est bon de garder les graines des plantes que nous voulons pouvoir semer au printemps prochain. C’est aussi le moment où la décroissance de l’ensoleillement se fait réellement sentir et l’équinoxe d’automne marque l’équilibre entre le jour et la nuit, un moment d’harmonie.

On entre dans la saison de préparation à l’hiver. On prépare les réserves alimentaires, on transforme les récoltes en jus, vin, confitures etc. 

C’est le moment où l’on va préparer la saison sombre. On va se recentrer sur son intérieur, retrouver ses proches autour du foyer. On profitera de cette période pour « purifier », nettoyer son intérieur. Il faut dorénavant penser à économiser ses forces et ses réserves… Il ne faut pas manquer de quoi que ce soit durant l’hiver

Symboles

Mabon amène mystère et transformation.

Cette célébration est un véritable symbole d’équilibre, par la nuit et le jour, mais aussi par la mort de la Terre en équilibre avec la période d’abondance du printemps et de l’été. On a appris à apprécier ses récoltes lors du sabbat de Lugnasad, il est temps maintenant de se préparer à l’automne. C’est aussi un équilibre dans les énergies, de vitalité et de repos, de notre lumière et nos parts d’ombres. Ici rien de négatif mais seulement des forces qui sont différentes. 

(Source:) https://mysticsmoons.com/2019/09/10/sabbat-de-mabon-histoire-symbole-et-correspondances/

Rituels

Créer un rituel d’abondance et de prospérité pour remercier la Nature de ses cadeaux, et s’assurer l’abondance à venir est tout à fait approprié.

Pour cela, on peut bénir et charger un talisman de prospérité, que l’on aura fabriqué auparavant avec de la terre auto-durcissante. Ce talisman peut être porté sur soi ou déposé dans son foyer.

C’est encore un temps de bilan, d’introspection pour faire le tour de tout ce qui a été commencé, laissé en suspens et terminer ce qui semble juste à être achevé.

Symboles pouvant être utilisés lors du rituel :

  • Une corne (la corne d’abondance) ainsi que des pommes, des glands et des graines venant d’êtres récoltées.
  • Les couleurs automnales et rappelant les moissons : jaune, orange, rouge, mais aussi brun et beige.
  • Les chandelles blanches , jaunes, orange, marron et rouges.
  • L’encens de benjoin et de myrrhe, auxquels on ajoutera du bois de santal, de l’écorce ou de la résine de cèdre. Il est possible d’y ajouter des fleurs de lotus ou de roses.
  • Les bois de chêne, de lierre, de vigne, de noisetier, de hêtre. On utilisera aussi les bois d’arbres fruitiers comme les pommiers, les poiriers et les mûres, les céréales (surtout le blé). Les fleurs de chèvrefeuille, les chrysanthèmes, les œillets, les soucis, les roses et les passiflores.

(Source: https://www.myrddinshome.fr/mabon/?cn-reloaded=1)

Le Chi Nei Tsang

Aujourd’hui je vous parle de ma nouvelle passion : le Chi Nei Tsang, en droite ligne de mon article sur les ventres.

“Écouter” l’énergie et développer une réponse différente des organes internes

Il est pratiqué depuis des millénaires dans les ermitages taoïstes, en Chine. Cette pratique de « guérissage » (processus menant à la guérison) permet de détoxiquer, fortifier et affiner les corps afin de maintenir un niveau élevé d’énergie.

CHI= énergie et informations
NEI TSANG : Viscères ou organes internes.
On peut ainsi comprendre les mots « Chi Nei Tsang » par « Travailler l’énergie et programmer les organes internes ».

C’est une pratique qui prend en compte la personne complète au niveau de son énergie physique, mentale, émotionnelle et spirituelle. Elle traite particulièrement l’origine des problèmes de santé. Elle renforce la bonne santé et développe la résilience du système de défense du corps. 

Développer l’écoute de ses propres ressentis

Elle permet au pratiquant ou au consultant de développer sa communication interne. Ainsi, à l’écoute de ses ressentis, en s’y connectant et en conscientisant ce qui se passe dans son abdomen, le client va pouvoir entendre les messages de son corps, recueillir des informations oubliées ou cachées, bien souvent à l’origine de ses problématiques de santé.

Cette approche est efficace notamment pour :
– les troubles digestifs (côlon irritable, spasmes, ballonnements, constipation…),
– les douleurs tendino-musculaires,
– insomnies, fatigue chronique,
– baisse de moral, anxiété

https://www.terrazen-formation.com/chi-nei-tsang

Ouvrage : Guérir à partir de l’intérieur avec le Chi Nei Tsang, Gilles Marin

#ventre #soin holistique #soin énergétique #énergie #chi #massage #soin du ventre

Se libérer d’un secret de famille grâce aux soins quantiques

Je suis souvent consultée pour lire et libérer des mémoires trans-générationnelles. Bien souvent, ces mémoires bloquantes sont liées à des secrets de famille.

La lecture des mémoires permet au consultant de mieux comprendre l’origine de ses schémas internes, l’origine de ses difficultés récurrentes. Ici, je ne vais pas détailler le processus de libération de ces mémoires. J’ai envie ici de vous partager ce que je rencontre parfois et qui peut paraître étonnant.

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Les âmes d’enfants

Quelle est la nature de l’âme d’un enfant? Qui ne s’est jamais posé la question? Ont-ils une réelle connexion avec leur âme dès leur naissance? Dans cet article, je vous témoigne de ce que j’ai vécu lors de soins énergétiques pour des enfants.

Cet été, j’ai eu la chance de pouvoir travailler avec des enfants. Je veux dire que j’ai donné des soins énergétiques à des enfants : deux d’environ 9 -10 ans et un bébé in-utéro (3 mois et 7 mois et demi de grossesse).

L’âme de deux enfants de 9 et 10 ans

Les deux enfants de 9-10 ans m’ont permis de commencer à appréhender à quel point les années de vie nous enferment dans nos blessures et nos défenses. Car en effet, avec elles, j’ai pu accéder facilement à une image de leur âme et des messages qu’elles avaient à leur transmettre. Pour l’une des deux qui portaient de lourdes mémoires familiales, un travail de libération et de purification a eu lieu. Et j’ai ressenti énormément de gratitude de sa part à la fin de la séance. 

Pour la seconde, je suis entrée en connexion avec les joies de son âme et ce qu’elle aime par dessus tout. Je ne peux pas confirmer ici que c’était son âme et pas son corps émotionnel… C’était d’ailleurs sans doute l’alchimie des deux à laquelle j’ai eu accès et qui m’a permis d’avoir ces informations.

Car en effet, à cet âge, peut-être bien que l’âme arrive mieux à se faire entendre et que la conscience humaine suit la « juste voie » de la personne sans trop dévier.
C’est en tout cas ce qu’il m’a semblé.

L’âme d’un bébé dans le ventre de sa mère

Pour cette petite fille, ce fut encore plus étonnant. La maman me consulte pour des peurs liées à l’accouchement et à la naissance. Ses peurs à elle. La première séance a d’ailleurs porté sur celles-ci. Mais le second soin s’est révélé être un soin pour la petite. La peur de ne pas exister après la naissance… Ce n’était d’ailleurs pas vraiment une peur, mais une croyance.

Car ce que j’ai compris lors de cette séance, c’est la difficulté de son âme à descendre et à s’incarner dans ce petit corps de matière. Et j’ai compris à quel point c’est difficile pour une âme de s’incarner ici : les mémoires terrestres (ou autres) inscrites dans ses corps se précisent au fur et à mesure que le fœtus se développe. Or, certaines de ces mémoires sont tellement lourdes et difficiles que l’âme peut à chaque instant décider d’arrêter le processus. Rien n’est jamais gagné. C’est ce que j’ai compris. Tout le soin a alors consisté à lui permettre de réactiver des mémoires positives. La maman a pu projeter des moments futurs de partage avec sa fille. La petite a un grand besoin de lien avec les animaux. Ça tombe bien, sa maman aussi. Et c’est par ce biais là que nous avons porté l’attention de l’âme pour lui donner confiance… en sa mère et en sa future vie sur Terre.

Pendant ce soin, j’ai eu accès aux connexions de la conscience de cette petite avec des mondes invisibles : l’esprit des éléphants, l’esprit des baleines et une connexion à certaines étoiles du cosmos. Je me suis retrouvée véritablement dans un monde féérique où la petite semblait avoir vraiment beaucoup de joie.

J’ai compris à quel point c’est véritablement un miracle que tout se déroule bien : la formation du corps physique et l’incarnation de l’âme dans ce corps… C’est très complexe et les processus peuvent être perturbés de mille façons.

J’attends désormais avec impatience des nouvelles de cette petite quand elle sera née.

Que cherchons-nous? Quel est le but de notre existence?

Quel est le but de l’existence? Quelle est notre “mission de vie” sur cette Terre? Que faire quand nous ne savons plus?

Les étapes de la Vie

Tout petit, dès la naissance, nous cherchons le contentement. Le contentement de nos sens, de nos besoins, de notre soif de découvrir.

Enfant, nous cherchons à nous amuser, à rire et à expérimenter plein de nouvelles choses. Nous les adultes, nous en concluons que nous cherchons à apprendre depuis notre plus jeune âge. En effet, nous observons que les enfants cherchent à imiter les plus vieux… et ainsi à apprendre à faire seul ce que font déjà les plus âgés.

Ayant passé ces différentes étapes:
– nourrisson,
– enfant,
– adolescent,
– jeune adulte qui découvre la vie de compagnon d’un autre,
– parent,
– professionnel compétent dans sa « boîte »,
l’adulte au milieu de sa vie se retrouve « sec » ! Il a l’impression de ne plus rien avoir à apprendre de nouveau. Il a déjà peut-être beaucoup voyagé, beaucoup expérimenté. Et ayant cru tout ce qu’on lui a toujours dit, à savoir qu’il était sur Terre pour apprendre, il se retrouve désorienté. Il n’arrive plus à trouver de sens à sa vie, puisqu’il a réalisé une grande part des expériences « normales » que doit vivre un adulte.

À 40, 50 ans, que nous reste-t-il à chercher ? Que nous reste-t-il à apprendre ? 

Expérimenter

Tout, nous disent les grands Maîtres. Car ce que nous avons appris dans la première partie de notre vie n’était rien, n’était qu’une illusion. Nous avons engrangé des expériences. Elles n’ont été que le miroir de ce que nous avions à travailler, traverser, pour pouvoir enfin arriver au seuil de notre véritable « mission1 » ici-bas.

Quelle est-elle ? Vers quels objectifs porter nos pas désormais? Les enfants sont partis du nid. Le travail ne nous nourrit plus (intérieurement parlant). Le couple vécu a brisé nos rêves de couple alchimique2. Que faire alors? Comment envisager cette nouvelle partie de notre vie? 

Perdu de vue… Regarder ailleurs

Toute notre recherche se pose alors ici pour beaucoup, comme sur un palier avec un horizon perdu dans le brouillard… Et à ce moment-là de notre vie, c’est souvent la chute… ou la fuite (vers un nouvel ailleurs prometteur qui se révèle souvent bien décevant car n’apportant rien de « neuf sous le soleil »). Les épisodes dépressifs à cette période de notre vie, les burn-out, le mal-être diffus mais prégnant sont les signes qu’il est temps de nous éveiller et de changer la direction de notre regard. Diriger notre regard ailleurs que vers l’extérieur de notre Être… Où alors ? … Évidence quand c’est résumé ainsi : vers l’intérieur de notre Être. Et si la solution à nos « problèmes » se trouvait en nous, et non pas à l’extérieur (ce que nous avons toujours cherché là bas, à l’extérieur) ?

Aller vers Soi

Mais que chercher à l’intérieur que nous ne trouvons pas à l’extérieur ? Le réel sens de l’existence n’étant pas d’apprendre comme nous l’avons cru, que nous reste-t-il ? Bien souvent à cette étape de notre vie, ce que nous recherchons par dessus tout, c’est la joie (ou le bien-être, ou le bonheur… qui sont d’autres mots pour cet état de contentement permanent, subtil de jouir de la Vie.) Et c’est bien à l’intérieur de nous que nous allons la trouver. Je ne parle pas ici de ces moments de rire, de partage, où nous nous sommes dans une joie éphémère qui s’évanouit rapidement dès que les circonstances changent. Je vous parle de cette petite flamme de joie, présente en nous tout le temps. Elle vibre dès que nous sommes en contemplation, en gratitude devant le beau de la Vie, de la Nature, de l’autre, etc.

Gratitude

Quand j’ai commencé à ressentir cette petite flamme en moi (il n’y a pas si longtemps que cela), je ne l’ai pas reconnu tout de suite. Disons que je n’ai pas « conscientiser » tout de suite que j’y étais. J’ai continué de m’entraîner, de m’exercer à éprouver de la gratitude pour tout ce que me donne à vivre la Vie (certains jours avec difficulté, en me forçant vraiment). Et puis un jour, je me suis rendue compte que la gratitude était devenue réelle, vraie, authentique et de ce fait puissante. Là, j’ai reconnu que ma joie était là, bien installée et vivace… vivante.

Je vous souhaite à tous de trouver votre joie intérieure, magnifique, celle qui vous fait remercier la Vie avec sincérité. 

Avec tout mon amour… (et ma joie;-)

1J’emploie le terme de mission ici, très à la mode dans les milieux du développement personnel. Je ne souscris pas à ce terme qui porte en lui une grande source de culpabilité et de volonté qui vont à l’encontre de ce que je souhaite partager ici.

2Encore qu’ici, le couple vécu comme toutes nos expériences ont bien commencé le processus alchimique mais souvent, nous n’avons pas abouti à l’étape d’alchimie complète (transmutation en lumière) car nous n’avions pas en main la « finalité de l’expérience ».

La connexion au tambour (tambour chamanique)

Je ne suis pas chamane, mais j’ai la capacité à me connecter aux énergies de la nature et aux anciens savoirs druidiques et chamaniques. Je pense que c’est pour cela que j’ai ressenti l’appel du tambour chamanique. En effet, lors de certains soins, j’entendais le son de tambours amérindiens. Je suis donc allée le fabriquer avec un homme, chamane, réputé dans le domaine pour les qualités techniques de ses fabrications.

J’étais toute fière d’avoir enfin mon tambour… mais la frustration n’a pas tardé à venir. En effet, je ne ressentais pas grand chose quand j’en jouais. Il m’a fallu quelques semaines avant que la connexion se fasse… et après l’épisode que je vais vous raconter, il me semble que ma connexion n’est pas encore tout à fait totale avec lui.

Voici mon anecdote : il y a quelques jours, je reçois un consultant que je connais bien maintenant.

Ce consultant, appelons-le Charles, vient me voir régulièrement depuis plus d’un an maintenant. Au fil des soins, la confiance s’est installée, de plus en plus fluide et profonde, ce qui fait que chaque soin nous révèle à chacun des espaces de l’invisible qui nous étonnent à chaque fois.

Cette fois-ci, Charles est venu avec son tout nouveau-né tambour. Il le sort de son sac avec grand respect et beaucoup de précautions, et presque un peu de crainte… Et il me raconte que l’expérience de fabrication (il a participé à certaines étapes) a été vraiment belle pour lui… Mais qu’il se sent encore intimidé, qu’il n’ose pas et qu’il sent qu’il manque quelque chose.

Et c’est bien de cela dont il s’agit. Ce n’est pas parce que l’on a son tambour que la connexion se fait. Il y a tout un chemin personnel pour aller vers lui, vers son esprit.

C’est ainsi que la séance a commencé. Je fus poussée à lui proposer de faciliter la connexion. Il fut invité à prendre son tambour contre son cœur et à écouter, ressentir. Puis, mon âme de guérisseuse, de médium entre les énergies terrestres et cosmiques a commencé à « tracer ses gestes, ses passes » autour de Charles et de son tambour. C’était la première fois que je faisais cela. Ce fut un moment très puissant pour nous deux. Pour lui les larmes, pour moi, des frissons dans tout le corps : alignement, ouverture et connexion de son cœur avec les énergies de son tambour… Connexion des deux âmes. (Car oui, un tambour chamanique possède une âme… seulement si on lui permet de se manifester.) Tout dans le silence et l’émotion… 

Puis ce fut le moment de le faire jouer… et là ! Quelle magie ! Le son n’était plus du tout le même qu’au tout début de l’entrevue. Un son bien plus profond, plus remuant… très puissant pour moi qui ressentait presque le besoin de chanter et crier : une énergie yang bousculante pour moi… Mais quelle joie d’avoir pu vivre ce moment de connexion, de relation avec ce tambour.

Alors, je n’ai pas d’explication rationnelle à tout cela. Ce que je sais, c’est ce que je ressens quand le tambour est connecté à son compagnon humain. Le tambour vous transporte, vous fait voyager. Et quand il est joué par un guérisseur, des soins passent à travers ses vibrations. C’est pourquoi avoir un tambour n’est pas si anodin que cela, à moins de l’acheter comme un bien de consommation parce que c’est à la mode. Mais si vous désirez, ressentez qu’un tambour peut vous apporter quelque chose, dans votre cheminement personnel, je ne peux que vous encourager à créer et à vivre cette union, ce compagnonnage avec votre tambour.

Mauvais caractère?

« Je râle souvent pour rien »

« Je m’énerve pour rien »

« J’ai hérité du sale caractère de mes parents »

« Je me sens souvent mécontent de moi »

« Je culpabilise d’être comme je suis… d’être moi »

« Je veux devenir la meilleure version de moi-même »

Vous êtes-vous déjà dit cela ? Avez-vous souvent eu le sentiment après avoir exprimé vos émotions de manière un peu « explosive » d’être fautif.ve ?

Si c’est le cas, lisez ce qui suit. Cela peut peut-être modifier votre regard sur vous-même … et sur les autres.

La manifestation extérieure un peu excessive (voire carrément incontrôlable et incontrôlée) souvent nous dessert auprès de notre entourage. Ils nous voient alors comme des personnes susceptibles, trop émotives, hypersensibles… et c’est tout. Ils ne vont pas voir au-delà du « spectacle » auquel nous avons donné libre court. Et notre message n’est alors pas du tout entendu.

Qu’est ce que cela dit de moi ?

Quand nous nous sentons submergés par un inconfort, un agacement, voire un fort mécontentement à propos de ce que notre entourage qualifie d’insignifiant, nous nous retrouvons bien souvent à nous énerver encore plus sans savoir mieux expliquer ce qui se passe en nous. 

Car il ne s’agit que de cela : exprimer, dire ce qui se vit en nous. Or, quand il y a un inconfort, un agacement et cela de manière répété, il est inutile de nier le ressenti. Et malheureusement c’est ce que fait l’entourage quand il vous réplique « que ça ne vaut pas le coup de s’énerver pour si peu ». Et c’est que soi-même, nous faisons quand après coup, nous adhérons au jugement de l’entourage et que nous terminons par énoncer les phrases du genre de celles que j’ai nommées en début d’article. Nous nous retrouvons alors dans une position de honte et de culpabilité.

Si nous commencions par accepter et reconnaître que nous ressentons effectivement de la contrariété ? Et si au lieu de nous dire qu’il n’y a aucune raison, nous cherchions en nous la raison d’être de cet état intérieur ? Et si nous acceptions d’aller regarder derrière tous les masques et toutes les « raisons » que nous fournit notre cerveau sur un plateau pour nous dire que nous avons tort de nous agacer ?

Car nous ressentons bien que quelque chose ne tourne par rond dans notre vie à cet instant. Nos ressentis sont bien présents et il est grand temps d’enfin comprendre qu’ils ne mentent pas et qu’ils sont des signaux. Ils nous disent quelque chose de nous.

Bien sûr, il y a autour de ce malaise tout l’ « enrobage », c’est à dire, la manière dont nous l’exprimons. Et c’est bien la seule modalité sur laquelle nous pouvons opérer un changement. C’est la modalité d’ajustement pour exprimer notre message. Et c’est pourquoi il est important de mieux comprendre ce qui vit en nous, mais aussi de s’informer sur les différents moyens à notre disposition pour communiquer.

Là encore, la Communication Non Violente est l’outil que je préfère pour à la fois reconnaître les états émotionnels qui s’agitent en nous, mais également pour énoncer à l’autre ce qui se passe et pourquoi je ressens ce que je ressens.

La règle fondamentale est celle de l’Observation/Sentiment/Besoin/Demande. 

Observation : J’identifie l’élément déclencheur et le reconnaît de manière factuelle, sans interpréter l’événement.

Exemple : Ce matin il pleut et je râle parce que j’avais envie de profiter du jardin aujourd’hui.

Sentiment : Je reconnais l’émotion ressentie

Je me sens triste et déçu.e, frustré.e. Je suis aussi un peu agacé.e (oui, on peut ressentir plusieurs émotions et degré d’intensité en même temps)

Besoin : Quel est le besoin qui n’est pas nourri ?

J’ai besoin d’aller dans la nature… J’ai besoin d’une connexion à la nature… j’ai besoin d’un temps de calme, d’apaisement et de solitude (peut-être)

Demande : Quelle demande puis-je me faire à moi-même ? Ou comment puis-je nourrir ce besoin ?

Je prends un temps pour regarder le jardin, écouter la pluie qui tombe. Je m’isole si c’est c e que je souhaite. Je médite. Et je garde à l’esprit que cette pluie est passagère.

Cet exemple est plutôt simpliste et vous me répondrez que ça ne ressemble pas à ce que vous vivez. Vous, vous sentez submergé.e.s parfois par une colère dont vous ne comprenez pas l’origine, vous la laissez éclater et ce sont vos proches qui en prennent plein la figure alors qu’ils passaient par-là.

Oui, je sais, je connais. Et parfois, vous n’arrivez même pas à trouver la raison de votre colère.

Alors, je vous répondrais que si c’est le cas souvent, il y a à chercher vraiment pourquoi vous vous sentez si insatisfait. Qu’est-ce qui dans votre vie n’est pas confortable ? Qu’est-ce qui vous manque ? De quoi avez-vous besoin ?

Ce sont là toutes les questions à se poser avant tout… pour ne plus se sentir coupable et honteux après coup. Car vos agacements, râleries et autres ne sont que le signe que quelque chose dans votre vie ne vous convient pas, et ce de manière profonde. Quelque chose de vraiment important qui ne vous correspond pas.

Mais bien sûr, il faut avoir le courage de se l’avouer et encore plus d’aller chercher ce que cela signifie.

Mais ne laissez plus votre entourage (ou vous-même) vous dire que vous avez mauvais caractère, car cela n’existe tout simplement pas. Et gardez à l’esprit que vos ressentis sont justes et ne sont que des signaux d’alerte.

Avec tout mon amour

L’enfant intérieur

Nous entendons souvent parler dans les articles traitant de psychologie et de développement personnel de cette notion d’enfant intérieur. Mais que recouvre-t-elle ?

Et surtout, pourquoi devrions-nous nous y intéresser ?

À l’intérieur de nous, lors de notre phase d’individuation nous avons intégré plusieurs figures d’autorité, plusieurs modèles (patterns) comportementaux, en fonction des personnes de notre entourage. Ce concept a été développé par plusieurs auteurs du monde de la psychologie (Jung, Bradshaw, Hal et Sida Stone, Berne, etc).

Ainsi, par exemple, nous avons l’enfant, les parents intérieurs, mais également la femme sage (pour les femmes), le chevalier (pour les hommes), le tyran, le bourreau, la victime, le sauveur etc…Tout un panel de sous-personnalités qui interviennent en fonction des circonstances et des personnes évoluant dans notre environnement.

Les connaître, et surtout comprendre comment ces personnalités vivent en nous (car chacun de nous ne vit pas la posture de victime ou de bourreau de la même manière), nous permet de mieux cerner l’extrême complexité de notre Moi.

Pour ce qui est de l’enfant intérieur, souvent la littérature psychologique nous parle de l’enfant blessé (ou émotionnel pour Marie-Lise Labonte). Mais il existe plusieurs enfants en nous, d’âges différents qui se sont inscrits dans nos mémoires en fonction des situations difficiles vécues à différents âges. Quand nous partons à la rencontre de ces enfants blessés, nous pouvons être surpris de leur âge, leur apparence et leur genre (qui n’est pas forcément celui que nous portons).

C.G. Jung a développé quant à lui le concept de l’enfant intérieur, enfant doué. « Il correspond à cette partie de nous-mêmes qui recèle, en puissance, nos dons innés pour la découverte, l’émerveillement et la création  » nous dit le psychothérapeuthe John Bradshaw.

À la lecture de ces quelques courtes explications, on commence à mieux entrevoir l’importance qu’il peut y avoir pour nous à nous connecter à tous ces enfants intérieurs. Quand nous nous sentons perdus, que notre vie ne semble plus avoir de sens, ou encore quand nous nous sentons bloqué dans notre vie, les contacter nous permet alors d’entrevoir des possibilités oubliées. Nous pouvons renouer avec nos capacités innées, nos grands rêves et nos aspirations que souvent la Vie nous a fait oublier.

Comment fait-on cela ?

Il existe tout un panel de pratiques et thérapies permettant cette reconnexion.

La sophrologie, ainsi que le soin des mémoires en sont deux. La sophrologie va permettre de visualiser comment ces enfants multiples vivent en nous, ce qu’ils ont à nous dire, de leurs blessures et de leurs joies. Le soin quantique permet au praticien de « lire » les mémoires inconscientes restées bloquées dans les corps énergétiques de la personne. Il les lit (se connecte aux informations contenues dans les corps énergétiques et par des passes de « purification quantique » et des mots simples mais à fort impact, il permet de commencer la « reprogrammation » des schémas limitants, ayant pour fonction de protéger l’enfant acquis depuis le plus jeune âge.

Et vous ? Avez-vous rencontré vos enfants intérieurs ? Si ce n’est pas le cas, et que vous avez décidé de commencer cette belle aventure, allez-y en vous faisant confiance, à vous deux. Ouvrez votre cœur et laissez venir ce qui est là, caché.

Belle rencontre à vous.

“Il est temps de se choisir”

Messager arcturien (25 juin 2023)

Il n’y a plus la place pour le doute. Humains pour vous, le temps presse. Certains hésitent encore à faire de la place et à se choisir. Beaucoup hésitent encore à faire le tri, à se délester de ce qui n’est plus juste ni aligné. Beaucoup restent encore accroché à des peurs de manquer : d’amour, de présence, de compagnie, d’argent ou autre… La peur du manque est votre plus grand ennemi actuellement.

Soyez assuré que nous veillons, que nous tous, reliés à la Source, autour de la Terre, ne vous veulent que du bien, ne souhaitent que votre mieux-être et votre plénitude.

Il n’y a plus de place pour les tergiversations, cessez de piétiner sur place. Avancez. Marchez vos pas. Mettez-vous debout, droit sur vos jambes. N’acceptez plus les contraintes qui vous font souffrir. 

Encore beaucoup d’Êtres divins sont empêtrés, emmêlés dans un écheveau de doutes, de peurs, de craintes. 

Alors suivez la flamme. Suivez votre flamme intérieure. Inspirez-vous des flammes que vous voyez briller autour de vous. Regardez votre chemin. Actuellement, ceux qui s’empêtrent dans leurs doutes et leurs atermoiements sont au carrefour, devant deux routes : l’une éclairée, lumineuse, pleine d’abondance, de prospérité et de joie, d’amour. L’autre est plus ténébreuse, cachée sous le voile, des ornières cachées, ornant le chemin.

Il n’y a pas de bon chemin : il y a juste celui que vous désirez emprunter. Vous ne pouvez pas choisir à moitié car il est impossible de suivre les deux chemins en même temps. Vous ne pouvez pas, vous le savez, marcher sur deux chemins qui vont dans deux directions opposées. Vous ne pouvez pas, même marcher sur deux chemins parallèles. Vous le savez. Un seul chemin est possible, toujours pour tout être. Alors choisissez et mettez vos deux pieds sur ce chemin. Il est temps, grand temps de choisir celui que vous désirez emprunter. Nous serons là quelque soit celui que vous empruntez, mais décidez-vous car il y a le risque qu’à ne pas choisir, vous tombiez dans la faille qui sépare les deux chemins. 

Nous avons parlé. Merci de prêter votre oreille à nos conseils.