Suite du message de la Terre, du 5 juin (reçu le 9 juin 22)

***

Ne te méprends pas Valérie, je ne t’annonce pas votre mort prochaine ni une énorme catastrophe touchant toute l’humanité.
Je vois toujours des torrents de boue, des inondations. 
C’est ce que vit l’humanité actuellement. L’enfer c’est maintenant. Toute l’humanité est embarquée sur ce bateau. Je vois un bateau pris dans la tempête, dans la tourmente. 
Puis elle me montre des prairies pleines de fleurs, de magnifiques paysages.
C’est qu’en ce moment, sur cette Terre, coexistent ces deux choses : paradis et enfers. C’est en cela qu’il n’y a pas d’issue. Pour le moment, vous ne pouvez pas vous extraire de cette dualité. Il faut laisser passer car tout passe. Rester dans l’amour, la joie, l’optimisme. Garder les yeux rivés sur les paradis, sur les magnifiques choses offertes par la Terre, la Nature, l’Univers.
Quoiqu’il arrive, ne pas dévier le regard. Ne pas faire comme dans cette légende, où l’héroïne ne devait pas se retourner surtout, mais elle s’est retournée et a été gardée dans les enfers (ou pétrifiée, je ne sais pas). Dès qu’on dévie le regard vers l’obscurité, on est médusés, paralysés. On descend dans nos propres enfers. Et là, il n’y a pas d’issue. C’est un cercle vicieux. Quoiqu’il arrive, restez en votre cœur, gardez la joie solidement chevillée au cœur, et l’optimisme et la foi. Tout passe. TOUT passe. Même le pire, même le meilleur. Tout est question d’équilibre et retour à l’équilibre.

N’ayez pas peur. N’ayez plus peur. Donnez-vous la main. Plantez vos pieds dans le sol. Renforcez-vous par vos liens de cœur. Donnez-vous la main. Et chantez, riez, dansez.

Laisser un commentaire

%d